-
Le chemin de l'école partie 3
Datte: 16/04/2021, Catégories: Inceste / Tabou
Sur le reste du chemin je peaufine le mensonge que je vais servir à Romain. Ce n'est pas la première fois que je lui ment, mais d'habitude ce n'est pas pour aller boire un verre avec un autre homme. En réalité, d'habitude c'est à la fois bien pire et bien moins pire : d'habitude c'est pour être avec Sandrine. Mais pas juste entre copines... Mais plutôt pour coucher avec elle... Dans un sens je n'ai pas vraiment l'impression de le tromper... Je vais juste chercher ailleurs ce qui lui est impossible de me donner. Et avec Sandrine je vis des choses que je ne peux vivre qu'avec elle et dans des endroits où je ne ferai l'amour qu'avec elle !!!Avec Sandrine, nous nous sommes découvertes une attirance mutuelle au fil des années. Ca a d'abord commencé par des discussions sur le sexe, puis l'aveu qu'on ne serait pas dérangées par une aventures lesbiennes. Et lors d'une soirée arrosée, nos mains ont dérapé, puis nos lèvres. Tout ça a commencé à prendre de l'ampleur quand nous avons commencé à nous voir de manière régulière dans le seul but de coucher ensemble. Il nous même arrivé de le faire dans l'école pendant les récréations ou de sortir dans des boîtes homosexuelles exhibitionnistes pour que d'autres gens nous regardent baiser... Et l'excuse du chagrin d'amour à noyer marche à chaque fois, au point même qu'il m'est déjà arrivé de passer la nuit avec elle voire tout un Weekend sans qu'il me pose de question... Il me suffira de lui dire ce que je lui dit à chaque fois et ça passera ...
... comme une lettre à la poste.Comme je l’avais imaginé, il me laisse sortir sans souci.Bien que j'essaie de me convaincre qu'il ne s'agit que d'un verre, je ne peux m'empêcher de me faire belle : haut décolleté quelque peu transparent qui laisse apparaître un soutien-gorge en dentelle noir, une jupe volante qui ne descend pas plus bas que la moitié de mes cuisses, talons hauts. À 20h55 je suis sur le parking, j'envoie un message à Sandrine pour la remercier une nouvelle fois quand j'entends un bruit de moteur s'approcher. Je lève les yeux et vois la voiture bleue nuit s'avancer jusqu'à moi et s'arrêter. Il coupe le moteur et sort de la voiture. Je le détaille des pieds à la tête : il porte un T-shirt blanc plutôt près du corps laissant deviner un torse musclé, un jeans bleu foncé qui met en valeur ses fesses et des converses rouges. Il a mis un peu de gel dans ses cheveux pour leur donner un effet décoiffé qui le rend à croquer. Quand il se penche pour me faire la bise, je sens son parfum enivrant. Puis il m'ouvre la portière et m'invite à m'asseoir.Sur le chemin du bar où il m'emmène, il m'explique que pour éviter que l'on risque de rencontrer des gens que l'on connaît il nous emmène dans un bar à Genève, qu'on y sera d'ici une demie-heure. J’acquiesce d'un hochement de tête et regarde le paysage par la fenêtre. A chaque passage de vitesse, je sens le dos de sa main qui effleure la peau de ma cuisse jusque mon genou. Je fais mine de ne pas relever et laisse ma jambe en place. ...