Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (32) : Philippe, mon mari, mon amant, toujours candauliste.
Datte: 16/04/2021,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Dès son arrivée chez nous, Hassan avait fait comprendre à Philippe qu’il était désormais mon véritable homme et que notre mariage, dont j’avais depuis déjà un moment rompu le serment de fidélité (en accord et avec la volonté de Philippe) en m’offrant à un si grand nombre d’hommes, était désormais en sursis. Le lendemain matin, profitant qu’Hassan, que j’avais épuisé en exigeant des assauts une bonne partie de la nuit, dormait profondément, je suis allé à la chambre d’amis où dormait Philippe. J’avais été malheureuse la veille de son humiliation. Et je voulais me faire pardonner. Oui j’étais prête à céder à Hassan pour le divorce, mais non je n’étais pas prête à renoncer à Philippe. Je l’aimais toujours. J’étais amoureuse de deux hommes à la fois, en même temps, de manière différente, mais avec la même force. Pourquoi fallait-il qu’Hassan exige d’avoir le monopole sur moi ? PHILIPPE, MON MARI DEVENU MON AMANT Depuis que j’étais la femme de Philippe, je l’avais toujours gratifié d’une fellation le matin. C’était un rite entre nous et même lorsque j’étais sous la coupe de Rachid, je n’y ai pas dérogé. Je me rends donc sans faire de bruit dans la chambre d’amis, où Philippe s’est réfugié. Philippe est allongé. Comme nous le faisons souvent, il fait semblant de dormir profondément. Je sais que je l’ai fait beaucoup souffrir la veille. Je sais qu’il n’a pas ou peu dormi, je sais, même si un homme ne l’avoue pas, qu’il a pleuré. Je m’en veux parce que je lui ai fait du mal, je ...
... veux me faire pardonner, lui faire comprendre que rien ne doit changer entre nous, que je l’aime toujours. Il a beau faire semblant de dormir, je sais bien qu’il sent ma présence. Je ne me suis pas lavée avant de le rejoindre. Etant nue, il ne peut pas ne pas sentir, lui qui est si sensible aux odeurs, que je porte sur moi une forte odeur de femelle qui a copulé une bonne partie de la nuit, qui a la semence de son mâle, mais aussi beaucoup de sperme séché sur mes seins, mon visage, mon corps. Je veux Philippe, comme hier soir je voulais Hassan. Je me glisse dans son lit, contre lui. Je lui offre mes lèvres et l’embrasse fougueusement. • Oui mon chéri, embrasse ton épouse adultère. Tu as voulu que je sois ainsi, maintenant c’est trop tard pour changer. • Oh mon Olga, je t’aime. J’ai entendu tes cris de plaisir une bonne partie de la nuit. • Oui Philippe, il est insatiable et moi aussi. Il m’a peut-être déjà fécondée tu sais. Je suis pleine de lui. Approche de ma chatte, elle sent la femelle, la putain. • Tu me rends fou, tu sais ! • Je m’en rends compte, mon amour ! Je regarde la bosse qui se prononce au niveau de son entrecuisse. Il bande comme un salaud ! Je la touche légèrement de ma main. Hum... comme c'est dur ! Mon Dieu ! Comme cette bandaison est prometteuse ! Alors, là, je n'hésite pas. Je la pelote copieusement de toute ma main, de ma paume et de mes cinq doigts. Sa bite, sous l'étoffe de son pantalon de pyjama, est dure comme de la pierre. Je la caresse de plus en plus ...