Agnès
Datte: 16/04/2021,
Catégories:
ff,
telnet,
fdomine,
Oral
attache,
yeuxbandés,
initff,
... il ne s’est rien passé. Je lui rétorque en la regardant droit dans les yeux : — Il en sera peut-être de même avec moi…— Non, je vous trouve belle et attirante, laisse échapper Agnès, visiblement gênée par les mots qu’elle vient de prononcer. Un « lève-toi et déshabille-toi ! » sort de ma bouche, d’un ton autoritaire. Sans y croire, je la vois se lever et déboutonner le haut de son tailleur, qu’elle pose sur le fauteuil, bientôt rejoint par sa jupe. Je me délecte à découvrir son corps pendant qu’elle enlève son chemisier. Sa poitrine est plus volumineuse que la mienne et son galbe fessier superbe. Mon bas-ventre est en feu mais je ne laisse rien paraître. Agnès me regarde timidement, je la contemple sans rien dire. Elle passe les mains dans son dos pour dégrafer son soutien-gorge et laisse apparaître deux seins en forme de poire qui pointent fièrement. Mon Dieu, elle est magnifique ! Je tire sur la ceinture de mon kimono dont les deux pans s’écartent laissant apparaître ma poitrine et mon sexe glabre. Nous nous regardons avec passion. Je me lève et viens me placer derrière elle, plaquant mes petits seins contre son dos, position que j’avais particulièrement aimée avec Patricia. Je sens la chaleur de son corps. Mes doigts glissent lentement sur ses hanches à la rencontre de son string qui bientôt repose sur le sol. Dans la grande glace du salon, je regarde son sexe surmonté d’une toison blonde, taillée en ticket de métro. Son ventre est plat et musclé. Son corps est vraiment ...
... parfait et désirable. Une vague de cyprine inonde mes lèvres pendant que l’incendie se propage dans mon corps. Mes mains viennent se plaquer sur ses seins dont je pince les pointes. Agnès soupire de plaisir. Je lui malaxe longuement les tétons en lui étirant les extrémités. Elle gémit et ses fesses viennent se plaquer contre moi. La chaleur de nos corps se mélange. Peur ou désir, mais je la sens trembler. Je l’embrasse dans le cou tout en faisant glisser mes mains sur son ventre à la limite de son pubis, en jouant avec ses poils blonds. Mes doigts progressent sur l’intérieur de ses cuisses en effleurant son sexe. Agnès laisse échapper des petits soupirs et je sens sa respiration s’accélérer. Je me grise de son parfum et me délecte de la douceur de sa peau. Ses bras pendent le long de son corps, elle n’ose rien tenter mais savoure son plaisir. Je lui propose sur un ton langoureux : — Tu peux arrêter maintenant si tu le désires, je comprendrais. Agnès se retourne, le feu du désir brille dans son regard. Alors qu’elle ouvre la bouche pour répondre à ma question, je place mon index dessus pour lui interdire de parler. Je prends mon jouet par la main et me dirige vers la chambre. Je quitte mon kimono et j’attrape un foulard que je passe devant ses yeux et noue derrière sa tète. Elle ne se défend pas. Aveugle maintenant, je l’allonge sur le lit. Agnès est sur le dos, je tire ses bras vers le haut et, une à une, j’attache ses mains aux barreaux du lit à l’aide de deux autres foulards, ...