1. Mlle Adeline et M. Martin (2)


    Datte: 16/04/2021, Catégories: Hétéro

    ... vraiment à me rapprocher des garçons de toute façon...Et puis, un homme comme vous, c’est pas mal aussi ! Vous avez de l’expérience, de la maturité, vous êtes viril...et j’en passe. — Oh, c’est gentil tous ces compliments. Mais tu me dis ça après que je me sois rhabillé ? C’est dommage. Dit-il en rigolant. Je me sentais beaucoup plus à l’aise avec lui maintenant et j’appréciais le fait de pouvoir me confier à lui sur tout ce qui me chagrinait. Il était venu s’installer à côté de moi et nous discutions ensemble. Je voyais que parfois son érection lui revenait et qu’il se touchait devant moi, tout en continuant de m’écouter. Et même s’il m’avouait être excité par mon corps, il ne m’a jamais touché contre ma volonté. Parfois, je me surprenais à poser ma main sur son sexe où son torse, mais il ne me réprimanda jamais ni ne retira ma main. Au contraire, il m’invitait à le toucher si j’en avais envie ou par simple curiosité. Finalement, après plus de deux heures de conversation, nous reprîmes la route vers la plage. L’après-midi fut très banal. Nous pouvions nous balader sur la plage, en ville ou même rester à l’école si nous le désirions. Je n’étais pas restée avec M. Martin durant l’après-midi de peur de trop attirer l’attention. Il restait mon professeur après tout. Puis, après le repas, nous allions nous coucher, exténués. La nuit, je me réveillais de nouveau. M. Martin n’était pas dans son lit et n’était pas non plus dans la salle de bain. Je sortais de la chambre et remarqua ...
    ... que la porte d’entrée était ouverte. Il était devant le bâtiment allongé sur le sol à regarder le ciel étoilé. Il était habillé, du moins, il portait un t-shirt et un short. Je m’allongeais à côté de lui et il passa son bras derrière mon dos, plaçant ainsi sa main droite sur mon sein droit. Il me caressait lentement mais habilement, sans aller plus loin. Comme s’il savait ce que je voulais et ce que je ne voulais pas. Nous restions là, silencieux, à la lumière du ciel étoilé. — Dîtes M. Martin...On a beaucoup parlé de moi tout à l’heure mais...Et vous ? — Moi ? Tu veux en savoir plus sur moi ? — Je me demandais pourquoi vous n’étiez pas marié...Enfin un homme comme vous, je veux dire, vous êtes plutôt charmant, un peu pervers sur les bords mais quand même... — En fait, j’ai été marié Camille. C’est juste que ça n’a pas beaucoup marché entre nous. Ma femme me trompait et me prenait pour un imbécile, pensant que je n’avais pas vu clair dans son jeu...Elle a beaucoup moins rigolé quand elle a vue les papiers du divorce si tu veux mon avis ! — Oh...Je ne savais pas, désolé. — Ne t’excuse pas ! Et puis, toi tu es là, non ? C’est ce qui compte. Il rigolait de plus belle. Pour ma part, j’étais songeuse. J’aimais beaucoup la relation que lui et moi nous avions. J’avais même envie d’aller plus loin avec lui. Mais si quelqu’un l’apprenait, que se passerait-il ? Sans m’en rendre compte, j’étais en train de penser comme une jeune fille amoureuse...Parce que j’étais amoureuse. Je tournais ...
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