Les aventures sexuelles débridées de Patrick. Claude (2)
Datte: 16/04/2021,
Catégories:
Hétéro
... saligaud ... Hhhuumm !... Oh ouuiiii !... – Vas-y Patrick, m’encourage-t-il.encule-là cette salope !... Elle adore ça ... Affolée sexuellement par les remarques grivoises de son époux, Claude s’immobilise soudain et pousse un véritable hurlement. Profondément empalée sur mon dard elle jouit en émettant d’incompréhensibles borborygmes, soudain je ressens un étrange, mais délicieux resserrement du vagin autour de mon gland hypersensible. C’est comme si son sexe tout entier pressait ma verge pour en extraire son jus intime, comme si elle voulait me traire. Incapable de résister à cette voluptueuse sensation, je m’abandonne alors à la jouissance et lâche ma semence, emplissant copieusement le vagin dans lequel ma bite est enfoncée jusqu’à la garde. Du fait de la pression des muscles vaginaux autour de mon gland, chaque éjaculation me procure une jouissance extrême qui m’arrache des grognements de plaisir, grognements qui font écho aux feulements de Claude. Je n’arrête pas de jouir, ma queue n’en finissant plus de cracher sa liqueur séminale, ça ne m’était jamais arrivé lors de mes masturbations solitaires ces giclées qui n’en finissent plus. Claude non plus n’en revient pas des décharges copieuses qui lui emplissent le vagin, elle commente pour son mari : -Putain !... Comment peut-t-il avoir une réserve de sperme aussi incroyable ? Il me remplit comme une outre ! Je me retrouve soudain à court de munitions. Dans la fournaise du sexe féminin, ma verge cesse alors ses bordées, ...
... lâchant ses dernières salves. Le corps tétanisé, je demeure immobile toujours portant Claude, le cœur battant à cent à l’heure et la respiration saccadée. Après un instant ou on entendrait une mouche voler, aussi haletante que moi, Claude desserre l’emprise de ses cuisses autour de mes hanches pour reposer ses pieds à terre. Nous restons alors ainsi enlacés, liés encore l’un à l’autre par nos sexes intimement emboités, reprenant lentement nos esprits. Je sens ma volcanique partenaire se désunir de ma verge toujours aussi rigide. C’est l’exclamation de la femme à l’intention de son mari qui me ramène à la réalité. – Putain, qu’est-ce qu’il m’a mise... Regarde, ma chatte se vide tellement il m’a gavée, j’en ai plein les cuisses !... Ce n’est pas une bite qu’il a ce gamin, c’est une vraie lance à incendie !... Il m’a rempli la chatte de son sperme...Et regarde !... Il n’a pratiquement pas débandé!... Elle se retourne et s’adresse à moi me caressant la verge qui se raffermit aussitôt entre ses doigts expérimentés: – Ben mon cochon. Tu en avais une sacrée réserve !... C’est toujours comme ça quand tu éjacules ? Tes décharges sont toujours aussi abondantes ? Du beau travail de jeune mâle et j’apprécie que ta bite soit encore disponible et dure comme un roc! Je me mets à bégayer une réponse approximative m’excusant presque de mes exploits. – Tu n’as jamais baisé de filles ?... – Euh, non... Enfin…! – Je suis la première, s’exclame Claude, un puceau, et quel diamant brut! -Maintenant que ...