Emma, agent immobilier. #1
Datte: 17/04/2021,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Emma avait mis de côté sa vie sentimentale pour mener de front sa carrière. A tout juste trente ans, cette jeune femme travaillait d’arrache-pied dans l’immobilier. Et se donnant corps et âme dans son travail, elle avait bien du mal à faire de nouvelles rencontres, vu son planning extrêmement chargé. Elle aurait bien aimé, de temps à autre, lors de ses longues soirées de solitude, être en présence d’une personne avec qui elle aurait pu partager ses fantasmes, mais ce n’était pas forcément évident. Il y avait bien ce stagiaire, mais il avait quitté la boite il y a déjà deux mois de ça. Et pourtant, Emma n’avait de cesse de repenser à leur première rencontre, en se touchant, la nuit seule dans son lit. Gabriel, de son prénom, était un beau jeune homme, la vingtaine flamboyante, et se pliant en quatre pour satisfaire son patron. Un soir, il était resté tard, pour terminer un dossier sur lequel il travaillait. Emma aussi, était là, assise à son bureau. Un couple avec de gros mayens, comptait sur elle pour leur trouver l’appartement de leur rêve, en plein coeur de Paris. Et elle savait que cette vente pourrait lui rapporter gros. Alors elle se donnait à cent pour cent, quitte à passer une partie de la nuit au bureau. Vers dix heures du soir, ses pensées divaguaient. Sûrement à cause de l’épuisement. Mais surtout au manque sexuel qu’elle vivait déjà depuis quelques temps. Se pensant seule, elle entreprit de se toucher, là, au milieu de son bureau, afin de satisfaire son envie. ...
... Vêtue d’un tailleur, elle ne tarda pas à remonter sa jupe le long de ses fines cuisses pour laisser sa main saluer son clitoris comme il se devait. Son autre main, elle, palpait avec vigueur l’un de ses seins, qu’elle avait au préalable fait sortir de son chemisier. Emma adorait se masturber au bureau, elle se sentait cochonne. Et l’idée que l’on puisse la surprendre n’avait pour effet que d’amplifier l’orgasme qu’elle s’offrait. Ce n’était d’ailleurs pas la première fois qu’elle se retrouvait ainsi, culotte baissée au milieu de son bureau. Non, elle avait pris l’habitude de le faire pendant sa pause déjeuner, quelques fois par semaine, après avoir demandé à ce qu’on ne la dérange pas. Et elle avait même fini par s’équiper pour l’occasion, cachant un gode au fond d’un tiroir. D’ailleurs ce soir là, après s’être caressée longuement le clitoris, elle décida qu’il était temps d’offrir à son vagin, un peu de réconfort. Alors, la main encore pleine de cyprine, elle ouvrit ce fameux tiroir pour en sortir son gode fétiche. Celui-ci était monté sur une ventouse pour le stabiliser. Pleine d’entrain, elle le colla alors sur son bureau, monta sur ce dernier et s’empala presque d’un coup sur cette tige, pour se baiser comme elle le méritait. De ses mains, elle avait fini par ôter son chemiser et son soutif afin de libérer sa poitrine opulente et pincer ses tétons. Parfois, elle se laissait même aller et se donnait quelques petits surnoms bien sentis avant de fermer les yeux en s’imaginant ...