Du fantasme à la réalité
Datte: 17/04/2021,
Catégories:
fh,
extracon,
inconnu,
magasin,
telnet,
cérébral,
noculotte,
odeurs,
Masturbation
Oral
pénétratio,
... chacune sur son lit, allongées côte à côte et les yeux fermés, sans nous toucher, nous relevions nos jupes et glissions nos doigts sous nos culottes blanches. Et là, nous nous exercions chacune à nous faire plaisir. Nous ne parlions pas, ne commentions pas. Nous nous écoutions simplement soupirer, en nous caressant chacune de notre côté. Nous avions conscience de franchir un interdit bien trop grand pour nous autoriser à aller au-delà dans nos jeux érotiques. Nous avions fini, cependant, par faire de ces séances l’objet d’un concours, la première à atteindre le sommet (nous ne savions pas que cela s’appelait l’orgasme) serait dispensée du prochain devoir de maths. Il incomberait entièrement à la plus lente, la gagnante n’ayant plus qu’à recopier celui de la perdante. Tu vois : des jeux bien innocents !— Mais ce n’est pas comme ça que tu as acquis l’imagination dont tu as fait preuve aujourd’hui ?— Ces séances de masturbation n’ont eu qu’un temps. Mon amie a redoublé, plus de séances de travail, plus de masturbation. L’état dans lequel me laissait mon mari après ses trente secondes d’intromission devenait de plus en plus insupportable. Même si je ne l’aimais pas, mon corps, une fois possédé, réclamait la conclusion naturelle à laquelle il avait droit. Nos séances de masturbation me revinrent à l’esprit. Et j’attendais les ronflements pour me donner le plaisir qui m’avait été refusé par le ronfleur. Frustrée par cette vie sexuelle injuste, j’ai commencé à lire des revues sur la ...
... sexualité, en cachette. Tous mes désirs refoulés ont alors trouvé une légitimité à mes yeux, et je ne me suis plus sentie coupable des envies de mon corps. Je ne suis cependant pas passé à l’acte autrement qu’en solitaire et épistolairement, avec toi.— Et maintenant, penses-tu que tu es prête à passer à l’acte ?— Non, je ne le crois pas. Mais je sens bien que ce n’est qu’une question de temps.— Serais-tu prête à me rencontrer et commencer à remplir ce « temps » par des petits jeux érotiques ? Seulement érotiques ?— Comme quoi par exemple ?— Laisse-moi un peu de temps pour les imaginer. Tu as dit que vous aviez une boutique de chaussures ? En région parisienne ?— Oui, en fait, nous sommes propriétaires de plusieurs magasins à travers nos deux familles.— Travailles-tu comme vendeuse ou es-tu simplement la riche héritière ?— Les deux. Une fois par semaine, je soulage mon mari le jeudi après-midi, lendemain de la nocturne, et je m’occupe du magasin qui est sous notre appartement de 14 à 16 heures, toute seule. En général, il n’y a pratiquement personne.— Mais c’est demain, ça ! Voilà ce que je te propose. Demain, je serai ton client à 14 heures. J’arriverai dans ton magasin, j’essaierai des chaussures évidemment. Et c’est toi qui me serviras. Mais pas n’importe comment. Tu seras habillée en jupe, chemisier, sans collant et… sans culotte. Et tu t’offriras sans retenue à ma vue, pendant que tu me feras essayer des chaussures.— Non, je ne peux pas !— Bien sûr que tu peux ! Tu auras ...