Mon épouse, Emmanuel et Jennifer
Datte: 17/04/2021,
Catégories:
ffh,
frousses,
Collègues / Travail
Oral
pénétratio,
jouet,
hff,
... l’enfiler d’un coup jusqu’à la garde comme le dernier des machos. Au contraire, je m’enfonçai doucement pour apprécier ma progression dans son fourreau jusqu’au dernier centimètre, jusqu’à ce que mes couilles m’empêchent d’aller plus loin. Lorsque la possession fut complète, j’ai senti mes jambes se dérober tant mes sensations mais surtout mes sentiments étaient forts. L’indicible satisfaction de posséder enfin cette femme inaccessible, le plaisir de communier par la chair, les contractions de son ventre serrant mon membre, c’était trop. Je me suis appuyé sur ses reins en la remerciant de m’accueillir dans son ventre et j’ai commencé à la pilonner, doucement d’abord puis, l’excitation augmentant, de plus en plus vite et de plus en plus fort. Je l’ai agrippée aux hanches et je l’ai littéralement secouée, ressortant complètement de son ventre pour m’y ré-engouffrer en écartant les chairs avec une facilité déconcertante tant l’endroit était inondé. L’accouplement était devenu saillie tant mon désir était fort. On entendait un bruitage sexuel augmentant encore, si cela était possible, mon désir de m’épancher dans ses entrailles. Allison participait activement à cette saillie, reculant à la rencontre de mon vit pour se sentir perforée jusqu’au plus profond de son ventre, criant entre deux coups de langue que c’était trop bon, qu’elle se sentait chienne mais que c’était le pied. Elle enfouit le vibromasseur récupéré dans la main de Jennifer directement dans la chatte ouverte de ...
... sa copine, dégoulinante aussi de ses secrétions. Elle lui imprima des allers-retours à la mesure du désir qu’elle ressentait d’être elle-même perforée et déclencha le mécanisme. Jennifer aussi se mit à geindre en se tordant de plaisir, excitée autant par l’accouplement que nous lui offrions que par les ondes distillées par la langue et les vibrations du vibromasseur au plus profond de son intimité. Des phrases et des sons incompréhensibles ont commencé à sortir de sa bouche. Elle était en train de jouir sur la langue d’Allison. Ses feulements rauques lorsqu’elle se libéra ont précipité ma propre jouissance, j’ai littéralement secoué le cul d’Allison, plantant mon dard aussi loin que possible, accélérant comme un damné mes coups de boutoir pour arriver à l’explosion finale. Allison, prise par les hanches et secouée sans ménagement, s’est recroquevillée sur elle-même et a laissé éclater à son tour son bonheur, en nous prévenant qu’elle aussi était en train de jouir et qu’elle avait l’impression de se vider. Un dernier coup de reins et je me suis accroché à ses hanches, laissant mon foutre se répandre dans cet affreux préservatif. J’ai regretté à ce moment de ne pas pouvoir lui déverser tout mon jus directement à l’intérieur du vagin. Je ne sais pas combien de temps avait duré notre petite séance mais je peux t’assurer que nous avons fait un boucan d’enfer. Nous nous sommes écroulés tous les trois sur la moquette, profitant d’un salutaire retour au calme. Nous nous sommes revus, ...