Ma coloc' Nina: Ch. 9
Datte: 17/04/2021,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... masturber, quand j’ai ouvert la porte. Cette idée m’a fait sourire. _ J’ai pas joui, promis, m’a simplement dit Nina, incapable de retirer ses doigts. _ Debout, et face au miroir. A contrecoeur, Nina a retiré ses doigts et s’est retournée. Je l’ai poussée en avant tout en sortant mon sexe de mon pantalon, puis Nina a posé un pied sur la petit banc de la cabine. Je n’ai eu qu’à écarter un peu plus le body et le petit string qu’elle avait gardé en dessous (règles d’hygiène obligent), et j’ai enfoncé mon membre en elle. Elle était tellement mouillée que je me suis senti comme aspiré par son vagin. Je l’ai tout de suite baisée très fort, en lui claquant les fesses à chaque coup de rein ou presque. C’est ce que voulait Nina, au final. Elle se mordait les lèvres pour ne pas faire trop de bruit mais le son des fessées, et de son sexe de manière générale, était plutôt équivoque. Parfois, je voyais le rideau épais de la cabine s’entrouvrir, et apercevait la vendeuse de l’autre côté. Elle entendait tout, sans aucun doute, et profitait sûrement du spectacle audio. J’aurais vraiment dû l’inviter. Un peu frustré à l’idée d’être passé pas loin d’un joli plan à trois, j’ai baisé Nina encore plus fort. Tout en lui claquant le cul, je jouais avec son plug, le faisait sortir puis rentrer à nouveau. Nina avait de plus en plus de mal à se retenir de gémir. C’était excitant de la voir faire, se pincer les lèvres, les yeux à moitié fermés. Au bout de quelques minutes, j’ai senti que j’allais ...
... jouir. Je me suis alors retiré et ai dit à Nina de se rassoir sur le banc et de me présenter ses seins. Elle a alors baissé les bretelles du body et descendu le vêtement en dentelle juste sous sa poitrine. Sur laquelle je n’ai pas tardé à me vider. Bien sûr, le body n’a pas été épargné par quelques giclées mal placées. Nina avait encore le souffle court, et trop désireuse de jouir aussi, ne pouvait pas s’empêcher de caresser ses seins ou son sexe. Mais mon regard, sévère, lui a fait mettre les mains dans le dos, sagement. _ Rhabille toi, on va à la caisse. J’ai pris les sous-vêtements, qu’elle n’avait sûrement même pas essayé, et je suis sorti de la cabine. Intentionnellement, j’ai laissé le rideau grand ouvert. La vendeuse a eu tout le loisir de voir Nina, assise sur le banc, son mini string écarté et ses seins recouverts de sperme, et sans doute d’imaginer tout ce qui s’était passé là-dedans. _ On va vous prendre tout ça, lui ai-je dis en présentant le body sali. Elle n’a pas ouvert la bouche et m’a simplement souri à nouveau. Nina m’a rejoint à la caisse cinq minutes plus tard. J’avais déjà réglé les achats, et récupéré le numéro de Johanna, la vendeuse. Ça n’avait pas été très dur. Je lui avais seulement dit que ce serait sympa si on se croisait à nouveau, un de ces quatre. Johanna n’avait pas hésité plus longtemps et avait écrit ses coordonnées sur la note. Je l’ai dit à Nina qui, encore toute excitée, a eu l’air assez emballée par l’idée. Puis j’ai décidé de rentrer, ...