1. La rentrée


    Datte: 17/04/2021, Catégories: fh, ff, fff, fbi, copains, profélève, uniforme, grossexe, fépilée, école, fsoumise, fdomine, noculotte, vidéox, rasage, Oral fgode, fdanus, jouet, fouetfesse, délire, initiatiq, f+prof,

    Je profite de vacances prolongées, amplement méritées après une première année en fac de psycho exténuante, à trois soirées étudiantes minimum par semaine, et couronnée par la possibilité et la chance inouïe d’avoir le droit d’en recommencer une deuxième. Cette année, l’été est plutôt agréable, et je retrouve la plage de mon enfance. D’une année sur l’autre je salue de loin les anciennes connaissances et lance un vague sourire d’encore plus loin aux aventures éphémères éthyliques. Je me réveille un matin, façon baba au rhum, aux côtés d’un homme. Je m’excuse pour cette description sommaire, mais cette fin de nuit ne m’a pas laissé un souvenir impérissable ; l’alcool a produit son effet sur son sexe et sur mon cerveau. Je regarde ma montre : huit heures. L’heure parfaite pour me lever et disparaître incognito afin de m’éviter des banalités consternantes, des justifications déroutantes, voire un mélange d’haleines post-apocalyptiques. Je m’éclipse de la pénombre de la chambre pour me brûler les yeux dans le salon inondé par les rayons du soleil. Je déteste les apparts avec des baies vitrées plein Est, surtout quand c’est pas chez moi et que j’ai picolé. — Elle veut un café ? Je me retourne brusquement. Enfin… brusquement… pas assez pour éliminer un bon joueur à « un, deux, trois, soleil », mais trop pour mon système cérébelleux bien détrempé. Entre deux vertiges et une violente nausée, je repère dans le flou de toute cette lumière une jeune fille/demoiselle/dame… C’est ...
    ... féminin, en tous cas ; à cet instant, c’est la seule certitude. Accoudée au bar de la cuisine, sirotant une boisson chaude, elle me regarde, visiblement amusée. — Ce serait pas de refus, mais…— Mais tu as peur d’avoir à croiser mon frère ? T’inquiète, il se réveille pas avant onze heures en général, et il attendra que tu sois partie pour se lever, comme à son habitude. Elle me tend une tasse d’un café bien serré. Elle se pose à table ; je la suis machinalement, m’installe, et j’approche mon visage de la tasse. La chaleur vaporeuse me fait du bien, je commence à m’éveiller. — Tu es donc la sœur de… « Comment il s’appelle, ce con ? » — De ton coup d’un soir ? Oui, je suis bien la sœur de mon frère. Elle reprend son air amusé mais je ne me sens pas blessée, il se dégage d’elle une tendresse et une douceur protectrice qui me fait du bien. — Moi, c’est Agathe.— Moi, Ève. Que fais-tu debout si tôt ? Tu ne sors pas le soir ?— Non, mais je te rassure : les lendemains qui dessaoulent, j’ai connu.— Tu fais quoi de tes vacances ?— Eh bien, pour commencer, le matin je cours. Et ensuite je m’occupe de moi de différentes façons.— Et ça ne te laisse pas un moment pour quelques aventures ?— Si, mais je prends le temps de les choisir. Et encore ce sourire ; encore un point. J’ai les neurones trop en compote pour tenter de lui renvoyer la balle. Il faudra que je m’y remette aussi ; ça fait une éternité que je ne me bouge plus. — Si ça te tente, un de ces jours, on peut faire les premières foulées ...
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