1. Dans la chaleur de la soirée


    Datte: 03/11/2017, Catégories: Dans la zone rouge,

    ... goûter le mélange sur ses lèvres puis nous la voyons reprendre ses affaires et repartir. Dommage, elle aurait pu resservir. *** " Tu n’aurais pas vu mes vêtements ? " " Non mais ce n’est pas grave. Tu n’as qu’à rester comme ça. Là où on en est ça ne changera plus grand-chose. " " Tu veux que je reste à poile ? " " Tu m’as désobéit deux fois ce soir. Pour ta punition, tu seras exhibée. " " Quand t’ai-je désobéi ? " " Quand tu as essuyé ta main sur le ventre du type et lorsque tu as donné ta chatte à nettoyer à la black… Même si j’ai bien aimé cette dernière partie. " " À vos ordres maître. " me réponds-tu en t’adossant à un réverbère allumé dans une position totalement impudique. Tu sembles prendre du plaisir à exhiber volontairement ton intimité, diminuant d’autant la "contrainte" de la punition. Je te remets la laisse et t’emmène ainsi jusqu’à la voiture garée à peine 15 mètres plus loin. Arrivé devant, je te fait mettre les mains sur le côté du capot, les jambes écartées, te rendant totalement exposée, vulnérable. Le plug est resté dans ma poche mais en regardant par la vitre, j’ai vu quelque chose avec quoi je vais pouvoir jouer. Tenant fermement la laisse de la main gauche, je libère ma ceinture de la droite et la replies sur elle-même pour m’en servir de fouet. Le bruit ne t’a laissé aucun doute, tu sais ce qui va t’arriver. " Je suis une vilaine fille, j’aime quand tu me punis. " " Je sais. J’aime les vilaines filles. " Je fais claquer la ceinture sur tes fesses ...
    ... deux fois, quatre fois, six fois. Tu m’en demandes encore d’avantage avec plus de force. Je passe le cuire contre ta chatte, elle est si humide que des gouttes de ta cyprine tombent au sol. Je refais claquer mon fouet de circonstance, tes fesses sont déjà rouges depuis plusieurs coups lorsque tu me dis stop. Punition ou récompense, tu aimes tellement ça que je ne peux finir la dessus. " Je t’ai dit que je jouerai avec ton cul. Je t’ai dit que je te voulais avilis. " Passant la main par la vitre ouverte, j’attrape une des deux bouteilles de DSP vide de ce matin et te présente le goulot devant la bouche. " Suce et mets y bien ta salive. " Je te vois obtempérer avec une docilité surprenante. Tu sais très bien ce que je vais en faire et tu sembles même prendre du plaisir rien qu’à y penser. La bouteille rentre sans aucune difficulté dans ton anus, semblant te comblé d’un vide. Je lui imprègne des mouvements de vas et viens qui te font te cambrer. Tu me fais signe d’approcher mon oreille. Tu me souffle encore une fois quelque chose qui me remet instantanément en érection. " Mets-moi la deuxième dans la chatte. " Sans hésitation, je commence à détremper le goulot de la seconde bouteille contre tes lèvres. Elle rentre facilement dans ton con largement ouvert par trois bites successives. De ta main droite, tu lui imprime toi-même un mouvement. Tu es là, appuyée contre le capot de notre voiture, sur le trottoir de la ville, nue, en laisse, exhalant le foutre et la cyprine, à te faire ...
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