Je veux que tu sois une salope : la suite. (3)
Datte: 18/04/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
... téléphone. Sur la vidéo, la situation avait évolué et ma femme était entourée de trois gars qu’elle suçait et caressait paresseusement tandis qu’ils lui caressaient la poitrine et ce lui qui filmait la pénétrait. Il avait un sexe épais avec un pubis rasé et on avait vraiment l’impression d’assister à une vidéo du net. « Aah oui, elle est bonne ta chatte ! Une bonne chatte de grosse pute ! Tu mouilles comme une vraie salope. Il va être content ton mari… » « Aaaaaah… Aah… Ah oui, Chaton, regarde comment ils me baisent bien. Aaaaah… » Le type qui la baisait se cabra après quelques instants et il retira sa queue en l’essorant. La chatte de Pauline apparut en gros plan, bien ouverte et dégoulinante de foutre. — Oh putain, elle est chaude ta femme. Et elle baise comme ça sans capote… J’imagine qu’elle prend la pilule… — Oui, mais c’est sûr que si elle l’arrête, j’aurais peu de chance d’être le père de mes enfants, ha ha ! André, après avoir regardé d’autres vidéos, dut quitter le bureau pour aller se branler aux toilettes et je l’aurais sans doute suivi si je n’avais pas déjà joui dans mon slip. Pauline ne s’arrêta pas en si bon chemin même si elle ne retrouva pas de groupe aussi nombreux. Elle rencontra deux types en début d’après midi et ensuite, trois hommes seuls. Je lui envoyai un message pour lui dire que je venais avec André peu avant de partir et elle me répondit qu’elle serait occupée à notre arrivée car elle avait trouvé deux nouveaux hommes pour la prendre. J’expliquai ...
... la situation à mon collègue qui préféra repasser chez lui et ne venir que pour diner. En chemin, je fis le compte du nombre de mecs qui l’avait sautée dans la journée et j’en fus heureux. Dans les escaliers, je croisais notre voisin, Monsieur Durant, qui me salua un peu gêné et pour le détendre, je lui dis que j’étais très heureux qu’il ait accepté d’aider ma femme le matin. Je montai ensuite les escaliers quatre à quatre jusqu’à chez moi et dès l’entrée, j’entendis les gémissements de Pauline qui se faisait prendre dans notre chambre. Je m’y dirigeai aussitôt sans y rentrer et assistai au dénouement de leur petite baise. Ma femme était coincée entre deux gars qui lui démontaient chacun un orifice. Les types étaient déchainés et, au vu de leur rythme incontrôlé, je sentais qu’ils étaient proches. — Aaah ! Aah oui, putain ! Prends mon jus dans ta chatte, Salope ! Putain ! Sac à foutre ! Tiens, ouh… En voilà encore. Aah ! Aah merde ! — Ah ! Merde ! Putain ! Moi aussi j’envoie la sauce ! Aah ! Aah oui, sale pute ! J’te farcis ton gros cul de salope, bordel ! — Aaaah ! Aaah oui ! Salops, farcissez moi ! Aaah oui ! Aaah, j’aime ça ; je jouis, salops ! Aaaaaaaaah… — T’es vraiment une bonne petite salope, tu sais… Dit celui du dessus en se relevant. — Oui, c’est aussi ce que dit mon copain… Comme ils se dégageaient de leur enchevêtrement, je constatai que les deux hommes qui devaient avoir la trentaine d’année étaient des jumeaux et, entre autre particularité, ils avaient des verges ...