1. Le jeune guide historien français


    Datte: 19/04/2021, Catégories: fh, fplusag, hotel, voyage, amour, Oral pénétratio, champagne, fouetfesse, mélo,

    ... t’embrassant.— Moi non plus, tu t’en doutes. Le baiser dure longtemps, encore plus enflammé que les précédents. Philippe effleure avec sa main la poitrine de Christa qui n’essaye même plus de se défendre. En fait personne ne fait attention à eux. Avec son foulard « Tour Eiffel » et ses lunettes de soleil « Starlette de Cannes », Christa est une femme méconnaissable, mais surtout sans âge. C’est complètement évident qu’aucune dirigeante d’entreprise allemande ne pourrait être accoutrée de la sorte, et pourtant… Philippe aimerait prendre les seins de Christa à pleines mains, leur peau est si soyeuse et si agréable à caresser. Malheureusement, bien que les gens du quartier soit plus que décontractés, ce square n’est pas le lieu idéal. Mais patience, dans quelques heures, dans les derniers étages du Sofitel, dans le grand lit de la chambre de Christa, les désirs les plus fous devraient pouvoir se réaliser. Il faut simplement savoir donner du temps au temps. Sacha Guitry ne disait-il pas que le moment le plus passionnant était le moment précédant l’amour et non l’instant d’après ? Christa sent que Philippe est en train de s’enflammer, tout comme elle par ailleurs. C’est alors qu’elle lui annonce, blottie dans son cou, avec une voix presque inaudible : — Ce soir je ne peux pas te recevoir au Sofitel, sinon ma réputation serait perdue. Pour Philippe c’est un choc, un énorme choc. Il ne veut surtout pas laisser paraître à Christa qu’il est comme assommé. Dans sa tête tout tourne ...
    ... très vite. Il se remémore ces quelques vers de La Fontaine dans la fable « Le renard et les raisins » :« …Ils sont trop verts dit-il, et bon pour les goujats… ». Philippe pose sa main sur la cuisse de Christa, la serre un peu et lui répond avec une émotion mal contenue : — Je m’en doutais, tu me l’avais laissé deviner. Et moi je ne peux pas te recevoir chez ma cousine.— C’est dommage.— Tant pis pour nous, les dieux ne sont pas avec nous. Ce sera pour une autre fois… et peut-être pour d’autres personnes.— C’est tout ce que tu trouves à dire, tu n’es pas très loquace sur ce sujet.— Non, parce que je suis pragmatique. Allez, viens, levons-nous ! On va jeter un petit coup d’œil dans l’église Saint-Eustache, puis à Beaubourg, et après je t’invite dans un restaurant grec. Je te ferai goûter leur vin résiné, le fameux « retsina ».— Et après ?— Je te raccompagnerai près de ton hôtel et, si tu es bien sage, on s’embrassera une dernière fois. C’est la seule chose que les autres ont l’air de nous autoriser à faire ensemble, et encore, avec un déguisement…— …— Mais surtout, ma chère Christa, n’oublie pas de te changer et de remettre ton tailleur avant de rentrer. Tu as une réputation à défendre et une position sociale à préserver.— Tu as peut-être raison… Christa est particulièrement mal à l’aise. Philippe la prend par la hanche, la main toujours en contact direct avec sa peau, en faisant pénétrer légèrement le bout de ses doigts dans son jean. Ils vont faire leurs deux dernières visites de ...
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