1. Annie au cinéma


    Datte: 20/04/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    François connaissait bien sa femme Annie, depuis qu’elle écartait les cuisses sans vergogne, plusieurs hommes avaient déjà eu le plaisir de s’introduire entre les cuisses accueillantes e sa femme. Les ragots allaient bon train, François se sentait humilié, il avait l’impression qu’on ne le regardait plus comme homme, mais comme cocu. Habitant d’une petite ville, ou grand village la rumeur se propageait à grande vitesses. François, sans même y avoir adhéré, faisait parti du clan des cocus, il en était même une élite. La réputation de salope du village de sa femme lui posait parfois des problèmes avec les autres femmes. Elles lui reprochaient de ne pas savoir tenir sa femme, de la laisser courir les hommes avec ses minijupes. Elles avaient peur pour leurs maris, peur qu’ils ne succombent aux charmes d’Annie. Des copains de François tournaient aussi autour de sa femme, si on peut appeler ça des copains ? François pensait que certains ne s’étaient pas privés pour grimper dessus. Il avait remarqué certains comportement et s’était fâché avec plusieurs d’entre eux. Il le savait bien qu’il était cocu et acceptait de porter ses cornes mais préférait que ce soit avec des inconnus, les copains devaient avoir plus de respect pour lui. Même si Annie écartait volontiers les cuisses ils ne devaient pas trahir les liens d’amitiés. Annie perturbait le cerveau de son mari avec ses aventures, elle le provoquait souvent en se faisant draguer sous ses yeux. Elle adorait le rendre jaloux sachant ...
    ... qu’il en souffrait mais paradoxalement cela l’excitait et son mari aussi. Chaque fois qu’il savait qu’elle l’avait trompée il semblait plus amoureux, elle se donnait à lui pour se faire pardonner et il lui faisait l’amour comme un Dieu. Elle ne se privait pas quand l’occasion de pimenter la sexualité de son couple se présentait. Allant jusqu’à faire des choses incroyable comme ce jour ou ils étaient sortie un samedi . Annie portait sa nouvelle petite robe sans manche en jeans, cette robe boutonnée sur le devant qui lui arrivait à mie cuisses, elle était à croquer dedans. François bandait rien qu’en la regardant, Annie savait que son mari serait excité mais elle voulait que son homme perde la tête. Il l’avait vu qu’une fois dans cette robe, qu’elle venait d’acheter la semaine passée. S’était le soir quand il rentrait du travail elle la portait. Elle lui avait dit qu’elle l’avait achetée dans la journée et c’était vrai. Mais ce qu’elle ne lui avait pas dit, c’est qu’elle avait passée l’après midi avec son amant sans rien sous sa robe. Ils avaient été se promener ensemble dans une ville voisine et son amant l’avait sautée plusieurs fois. Elle était prête, elle appelait son mari et se présenta à lui du haut de l’escalier, maquillé et paré de sa robe avec des escarpins qui avaient des semelles très hautes et des rubans en toile qui enlaçaient les chevilles. François, méduzé la regardait descendre perchée sur ses échasses, ses jambes semblaient ne plus finirent. Son sourire charmeur ...
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