L'orage
Datte: 21/04/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
Je ne fus plus qu'un long frisson qui glaça mon corps de la tête aux pieds, tout mon être se concentra dans ma queue raidie à l'extrême plongée dans la chaleur sans fin qui l'accueillait. Les muscles tout autour pulsaient et pressaient cette épée de sang plantée en leur centre, qui se battait furieusement, plongeant et plongeant encore, à chaque fois plus conquérante, intrépide, dictatoriale, forçant le conduit brûlant d'une sève torride. Mes reins pulsèrent encore une fois et mon membre se figea au fond du vagin vaincu et envahi de ma chair, mon corps eut une secousse dont l'épicentre était au fond de l'instinct humain. Une vague passa mon corps délivrant un flot ininterrompu de sperme dont le flux semblait intarissable, les spasmes emportaient toute raison avec eux, le liquide fécond se répandait infiniment et il me semblait que cette jouissance ne finirait jamais. Lorsque la marée sembla se tarir, je sentis une dernière vague monter en moi et mon gland vomit encore de sa fertile semence au réceptacle repu qui n'en pouvait plus et laissait sourdre au dehors des ruisseaux couleur de crème. Ma bite toujours figée était encore dure comme si elle ne voulait pas abdiquer, orgueilleusement plantée au beau milieu de la fente toutes lèvres ouvertes, labourée et vaincue dans cette joute inégale, et qu'elle savait perdu d'avance. Mais qui pourrait parler de défaite quand c'est la vie qui triomphe de toute façon ? La vie qui s'insinue par le labyrinthe des corps, entre l'offrande et ...
... la demande, entre désir et consentement, entre cuisses ouvertes et dard planté. Mon sexe palpitait encore tant ma jouissance avait été immense, il ne se résolvait pas à se rétreindre et restait là planté en elle. Je me risquais encore à quelques coups de reins qui remirent le feu à mon sexe et tirèrent des gémissements à celle qui était sous moi, je pris cela pour des encouragements et barattais de plus belle le vagin déjà si plein de ma sève. Cette fois je ne reteins pas plus longtemps, ouvrant les vannes aux flots de fluides liquoreux qui couraient au fond du sexe chaud qui ne pouvait que baver hors de lui ce trop plein de semence. Etait-ce alors un soupir d'extase, de fatigue ou de résignation quand ma mère exhala un « O mon Dieu ! » Elle se débattit soudain avec la dernière énergie et parvint à me verser sur le flanc expulsant mon sexe de son vagin. Comme mue par un ressort, elle bondit de son lit où nous étions couchés et courut jusqu'à la salle de bains. Dans son mouvement, j'eus le temps d'apercevoir le buisson sombre de son entre jambes, maculé de mon foutre blanc. L'eau coulait en abondance, le son du liquide dans la tuyauterie me parvenait distinctement alors que j'étais couché là, au travers du lit, inerte, hébété de ce qui venait de se produire. Cette nuit d'orage resterait à jamais gravée en ma mémoire, je le savais maintenant, moi qui n'était plus pareil aux autres. J'avais désormais une marque en ma chair, je la sentais comme si elle me fut faite au fer rougi. ...