1. Charmeuse et garce


    Datte: 22/04/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... boule au ventre, elle avance, digne, crâneuse. Elle n'essaie plus de s'envelopper, au contraire, c'est moi qui lui replace sur les épaules le trench qui menaçait de chuter. Elle affiche un sourire inaltérable, bêcheur. Sous les lampions sa peau blanche, fait naître émoi et tourbillons. Nos pas nous ont conduits dans le jardin Albert 1er. Adossée contre la grille du théâtre de Verdure, je l'immobilise. Une petite horde d'observateurs nous a suivi prudemment. Elle soutiens mon regard, elle sais que je vais lui retirer sa dernière protection. Paralysée, elle se cambre, son souffle est rapide. Je m'éloigne lentement, sous la contemplation des gens. Son corps dénudé insolant, brille comme un diamant. Sa poitrine se soulève à chacune de ses inspirations. Elle est divine, éblouissante, elle se trémousse, se caresse. Les hommes se rapprochent pour la saisir, pour la prendre. Je l'appelle et l'enfonce dans un taxi que je viens d'arrêter, inextremis. - Il était tant! Me dit-elle. - Tu as été admirable... Et admirée, et encore maintenant par notre chauffeur. Effectivement des yeux scrutateurs observent ma chérie via le rétroviseur. J'insinue une main dans son entrejambe pour détecter une présence humide possible. - Cette expérience t'a passablement échauffé les fesses et tu ne verras pas d'objection à autoriser notre pilote à te câliner en guise de pourboire? Sans attendre de réponse, l'homme arrêté sa Mercedes classe S, commande électriquement l'inclinaison du siège passager, ...
    ... par-dessus lequel elle balance une jambe pour offrir son con au visage de l'homme qui enfonce sa langue tendue dans la chatte imberbe et bouillante de ma femme. Pendant qu'elle se fait bouffer bruyamment, je lui titille les bouts des seins. A la limite du supplice elle est prise de convulsions. Mes doigts pincent, tendent, maltraitent, ses tétons alors que notre lécheur est arrosé de jets saccadés de syprine. Grognon, il nous enjoint de quitter le véhicule en nous offrant la course. Nous repassons dans ruelle où notre promenade avait commencé et forcement, sous la même porte cochère je l'ai embrassé encore. Des voix nous parviennent. - Ce pourrait-il être nos deux curieux de tout à l'heure? - Il me semble bien. Je lui répond en la découvrant et en la caressant ouvertement. - Je suis chaude comme de la braise et prête à tous tes caprices. Les deux jeunes marquent un temps d'arrêt et décident de se rapprocher. Dans le même temps je force ma chaudasse à se retourner pour leur faire face. Je suis calé derrière elle je l'expose, je l'affiche, je l'offre. Le plus rapide rapplique et n'hésite pas à palper la poitrine, le ventre chaud, les fesses de ma belles salope disciplinée. Il baisse rapidement son froc pendant que je fais quelques pas en arrière. Il persuade ma femme à lui prodiguer une fellation gourmande alors que l'autre luron déculotté se place derrière ma catin pour la pénétrer debout. C'est une sirène hurlante de police qui désassemble ce joyeux attelage, faisant fuir les deux ...