Dimanche matin
Datte: 23/04/2021,
Catégories:
fh,
couple,
volupté,
Oral
pénétratio,
fdanus,
ecriv_f,
Les volets sont fermés, mais la lumière pointe au travers sans difficulté en ce matin du mois de juillet. La pièce baigne dans une douce clarté aux reflets bleutés, de la couleur des voilages. Il est 7h. Bien sûr, on est dimanche, mais Paul n’arrive jamais à dormir très tard le matin. Ses dernières grasses matinées remontent à ses premières années de fac où, confortablement logé chez papa maman, il pouvait sans vergogne et avec l’assurance de ses vingt ans affirmer " qu’il était épuisé et avait beaucoup travaillé la veille pour ses TD ". Depuis, les soucis professionnels, les responsabilités familiales et ses deux petites filles ont eu raison de ses heures de sommeil. Cela fait au moins douze ans qu’il n’a pas dormi plus tard que sept heures et demie, sans compter les nuits entrecoupées par les pertes de tétine, pleurs et autres terreurs nocturnes. Il a d’ailleurs constaté qu’il n’y avait que chez les autres que l’image d’Epinal, du mari ronfleur et de la mère attentive au moindre sursaut de sa progéniture, perdurait. Dans son couple, enfin, avant le divorce, c’était maman qui bougonnait en se retournant et lui qui se levait au radar pour ramasser le doudou ou préparer le biberon. Il se retourne et observe en souriant sa compagne endormie. Il ne connaît pas encore très bien toutes ses habitudes, leur histoire est trop récente, mais il a déjà pu constater lors des quelques nuits qu’elle a accepté de passer chez lui, sa curieuse et provocante façon de dormir. Quand il s’endort ...
... après elle, il observe pourtant qu’elle est sagement couchée sous la couette en position fœtale, la tête légèrement recouverte du drap, mais quand il la surprend au milieu de la nuit ou au petit matin, car il s’éveille immanquablement le premier, il la trouve à plat ventre, non plus dessous, mais sur la couette, à califourchon en fait. Elle a replié la couette et s’est juchée dessus, jambes ouvertes. Sa nuisette est relevée haut sur les hanches, découvrant ses fesses blanches, car hiver comme été, elle dort cul nu. Son postérieur rebondi est là comme une offrande, elle a les jambes légèrement écartées laissant entrevoir son pubis rasé, la peau semble douce et tendre, comme celle d’un enfant et appétissante dans son indécence. Il aime à la voir ainsi abandonnée, mais ouverte, offerte la caresse et aux regards ; elle a des cuisses blanches parsemées de taches de rousseur ; un jour ils se sont amusés à les compter lors d’un après-midi érotique dans une chambre d’hôtel ; il s’est arrêté à 97, non qu’il avait terminé son décompte, mais parce que la fellation savante qu’elle lui prodiguait dans le même temps perturbait ses capacités arithmétiques. Avez-vous déjà essayé de compter des tâches de rousseur quand une langue habile lape votre gland, court le long de la verge et revient sucer délicatement le sommet ? Mission impossible. Il regarde sa croupe rebondie ; il sent son érection matinale devenir de plus en plus insistante dans le caleçon qu’il porte pour dormir les chaudes nuits ...