1. Elle était ma meilleure amie (2)


    Datte: 03/11/2017, Catégories: Hétéro

    Quelques semaines avaient passé depuis cette fameuse nuit. Jamais nous n’avions pris la peine de revenir sur les événements de notre voyage à Amsterdam. Pourtant nous nous étions revus plusieurs fois avec Nina. Je me demandais si elle avait oublié, si la drogue lui avait enlevé tous les souvenirs de cette nuit ou si à l’inverse elle préférait faire comme moi et ne pas en parler. J’avoue que j’étais gêné. C’était ma meilleure amie, ma confidente, une fille que je pouvais prendre comme une sœur. Mais la voir dans cette état d’extase, voir son vagin mouiller ainsi et l’entendre gémir juste à côté de moi qui me masturbais nu devant elle, ça m’avait retourné l’esprit. Plusieurs fois je repensais à cette soirée. Je me rappelais le contact chaud de sa cuisse contre la mienne. J’aurais tellement aimé la toucher plus que cette infime partie de son corps. Voir de plus près cette poitrine qui me paraissait généreuse mais que je ne pouvais contempler correctement. Et son sexe. Son dernier rempart d’intimité qui mouillait entre ses propres doigts. Rien qu’en y repensant je me mettais à me masturber en pensant à elle. À cette soirée... Malgré cela nous avons continué à voir nos moitiés respectives. Mais moi je n’ai pas pu continué. Il était inconcevable de rester avec une fille alors que j’avais vécu cette soirée. De son côté, Nina avait gardé son cher et tendre et devait poursuivre sa relation comme si de rien n’était. Un soir après s’être donné rendez-vous dans un bar, nous parlions ...
    ... de tout et de rien comme à chaque fois. On aimait perdre notre temps à refaire le monde en enchaînant les pintes de bières belges. Ce soir là, nous avions tellement bu que nous n’avions pas vu le temps passer. A tel point que le dernier métro était passé depuis plus d’une demi-heure. Nina ne pouvait plus rentrer chez elle vu qu’elle habitait en banlieue et qu’un taxi coûterait bien trop cher. Comme à chaque fois dans ces cas là je lui proposais de dormir chez moi. Je n’habitait qu’à une dizaine de minute de marche du bar. Nina ne refusait évidemment pas. Instantanément, je repensais à cette soirée à Amsterdam. Même si depuis on avait déjà dormi encore ensemble sans qu’il ne se passe quoi que ce soit. En titubant dans la rue, Nina se plaignait d’avoir atrocement mal au dos. — "Tu sais un bon massage et ça va tout de suite mieux", lui glissait-je. -"Ça je ne peux pas vraiment te le dire parce que jamais personne ne m’a massé." -"Ah bon ?!", rétorquais-je avec étonnement. -"Non je n’ai jamais eu cette chance." -"Tu sais moi je peux te masser si tu veux." -"Vraiment ? Tu ferrais ça pour moi ?" -"Bien-sûr. Surtout que sans me vanter, on me dit que je masse plutôt bien." -"Voyons ça alors." En arrivant chez moi, Nina pris place sur mon lit directement. Sa douleur était visiblement très vive. Je lui demandais pourtant de mettre des vêtements que je lui donnais pour que ce soit plus simple. Elle enfilait un de mes shorts de sport et ne gardait que son soutien gorge en haut. Rien que ...
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