Nouvelle expérience
Datte: 24/04/2021,
Catégories:
fh,
extracon,
douche,
hsoumis,
fdomine,
humilié(e),
contrainte,
odeurs,
pied,
Masturbation
Oral
légumes,
hgode,
aliments,
uro,
sm,
attache,
yeuxbandés,
nostalgie,
initiatiq,
... draguais ouvertement, je la voyais sourire jusqu’à ce qu’elle me regarde dans les yeux et me dise : — Je vois qu’on a un point commun tous les deux.— Ah oui ? Lequel ? dis-je fièrement.— On aime autant les femmes l’un que l’autre. Je marquai un temps d’arrêt avant de m’écrouler de rire. Ça c’était du râteau, mais je me mis tellement à rire qu’elle fit de même et nous avons continué à parler et à rire jusqu’à très tard dans la nuit. Jamais je n’aurais imaginé qu’une si belle femme puisse être lesbienne, moi qui les imaginais toujours avec les cheveux courts en brosse et une démarche de camionneur, elle venait de me faire comprendre que les a priori étaient encore une fois stupides. Nous nous voyions souvent et nous nous entendions très bien. Et nous parlions tous deux de nos coups de cœurs et de nos coups de blues avec… des femmes ! Quelque temps après ma dernière discussion téléphonique avec Ludivine, je commençai à raconter toute mon histoire à Amélie. Jusqu’au passage de l’expérience lesbienne. À ma grande surprise, elle accepta sans hésitation. Je lui communiquai le numéro de Ludivine et lui signalai qu’à présent cela ne me regardait plus. Mais je n’ai pu m’empêcher de développer davantage le sujet avec Amélie : quand est-ce que leur rencontre était prévue, à quel endroit, etc. Je lui signalai ce que Ludivine aimait, ce qu’elle aimait moins, ce qu’elle n’aimait pas. Je l’avais effectivement si bien décrite qu’elle n’eut aucun mal à la reconnaître le jour où elle la ...
... rencontra. Bien sûr, je savais qu’Amélie était chez Ludivine, je regardais ma montre et me demandais à ce moment précis ce qu’elles étaient en train de faire. Je ne savais pas si j’étais jaloux ou si j’avais le cœur en miettes, mais j’étais monté sur ressort, j’envoyais même des textos à l’une et à l’autre. À son retour, Amélie m’expliqua qu’elle avait trouvé Ludivine véritablement hallucinante et qu’elles avaient pris un pied phénoménal. Je n’en demandais pas tant et me sentais très aigri. Elle me demanda ce qui m’avait pris d’envoyer des textos comme ça à toutes les deux. Je lui expliquai que je ne savais pas si c’était de la jalousie ou si c’était que j’aurais eu envie d’être avec elles à ce moment-là. Elle me répondit qu’elle comprenait et m’avoua que la simple idée de ma présence avec elles l’avait excitée, que je devais vraisemblablement être le seul homme avec lequel elle aurait envie de faire l’amour et qu’elle serait même curieuse de savoir ce que cela faisait. Cette réflexion me consola définitivement, mais ça c’est une autre histoire… Je venais de réaliser un fantasme que nous avions construit à deux, ces jeux érotiques de dominante et dominé m’ont appris beaucoup de choses sur moi-même, mais également sur le plaisir d’une femme et sur le plaisir de façon plus générale. On dit toujours que lorsqu’un fantasme est réalisé, il disparaît, faisant partie désormais du vécu. Je peux vous affirmer qu’il n’en est rien, ce fantasme est toujours présent, toujours brûlant au fond de ...