séjour imprévu (3)
Datte: 25/04/2021,
Catégories:
Hétéro
Ma vengeance Jean a dû subir les effets de sa combine ; en effet le jour même, son père lui a démontré sa maitrise de la situation ; alors qu’il venait de me prendre, sur le lit conjugal, devant mon ami, subissant le revers de médaille à sa fourberie. Après m’avoir embrassé fougueusement, il m’a pris par la main et nous avons pris le chemin de sa chambre. Avant de franchir la porte, il s’est retourné vers son fils et tout en me pelotant allégrement, il lui a dit « tu as compris qu’elle s’est donnée à moi sans réserve et soit tranquille, ce n’est pas fini ; tant pis pour toi, tu as joué et tu as perdu. Rassure-toi, tu pourras la prendre, mais seulement si elle en a envie, et toujours en ma présence » puis m’embrassant à nouveau, il m’a pris par la taille et nous nous sommes rendus dans son antre, sans fermer complètement la porte. Il voulait que son fils puisse nous entendre et même nous voir Pour nous entendre, il nous a entendus ; en effet, très excité, sans doute par la situation et aussi par l’envie de me saillir, à peine entré, il m’a couchée sur le bord du lit et se mettant à genoux entre mes cuisses, il a commencé à me sucer la chatte, lapant non seulement ma cyprine, mais aussi les restes de son éjaculation ; un doigt s’est infiltré dans mon sillon et doucement m’a perforé l’anneau, encore sensible de la précédente sodomie. Sous cette double caresse, je n’ai pas tardé à sentir mon plaisir, me caressant les seins, me triturant les tétons, eux aussi sensibles. Ce ...
... n’était plus mon beau père qui me fouillait la chatte, mais un merveilleux amant, sachant trouver tous mes points, me faisant monter à son grès vers une jouissance de plus en plus bruyante ; le fait de savoir que mes cris devaient s’entendre en dehors de la chambre, augmentait encore mon envie de lui appartenir, et quand me retournant sur le lit, sa queue s’est engouffrée dans ma chatte béante, un cri de bonheur a jailli de ma bouche, alors que mon corps se cabrait pour mieux recevoir le chibre toujours aussi bandé. Variant les positions, il m’a possédé longtemps, s’arrêtant pour ne pas jouir, reprenant ensuite à grand coup de butoir ; jouissant en continu, mes cris résonnaient dans la chambre ; j’avais envie qu’il me féconde, mais il n’était pas pressé ; seule son envie de me faire jouir, sans doute aussi la présence pas très loin de jean, le stimulait. Ma chatte débordait de cyprine, coulait le long de mes cuisses quand il se retirait. Je n’étais que jouissance, le corps offert à son jeu, mes pensées pour cet amant infatigable. Quand enfin il s’est vidé en moi, en de longs jets de sperme, un véritable orage de plaisir m’a dévasté, me faisant hurler avant de perdre connaissance. Alors que je récupérais, seule, je repensais au « mauvais tour » de jean, l’envie de me venger me tenaillait ; mais comment ? Peut-être avec l’aide de son père, mais encore fallait-il trouver la situation. A sa demande, je suis restée en petite tenue, toute la journée, n’ayant aucune sortie de prévue ; à ...