1. Histoire courte du Périgord rose


    Datte: 25/04/2021, Catégories: fh, inconnu, hotel, volupté, intermast, Oral pénétratio,

    ... de clé dans une serrure. La porte de ma chambre s’ouvrit doucement. Je voulus allumer la lampe, mais rien, sans doute une panne de courant. Je devinais plutôt que je ne vis une silhouette féminine s’approcher du lit. — Mais….. Au moment où j’allais parler, je sentis un doigt se poser sur mes lèvres. « Chuuut ! » Elle tira les draps vers le bas, découvrant mon corps. Comme souvent au réveil, j’avais une belle érection. De nouveau, un doigt sur mes lèvres elle me fit « chuut ! » Ses mains parcoururent mon corps, s’attardant sur mon ventre, à l’intérieur des cuisses, puis sur mes bourses qu’elle commença à malaxer doucement. Sa bouche se posa sur ma verge et ses lèvres emprisonnèrent mon gland tuméfié de désir. Elle avait bien prémédité son coup, la petite garce. Elle entreprit un lent mouvement de va-et-vient sur ma hampe gonflée de sève. Sa langue experte léchait goulûment. Ses mains se posèrent sur mes tétons qu’elle titilla de ses doigts agiles. Je sentais la jouissance monter en moi. Elle dut le sentir aussi, car elle abandonna ma bite prête à gicler son foutre. Elle se mit à califourchon sur ma poitrine, puis, doucement elle avança vers mon visage. Mes mains avaient saisi ses grosses miches lourdes et élastiques. Ses tétons étaient durs. Je les fis rouler entre mes doigts Elle se mit à gémir doucement. Elle était maintenant assise sur mon visage, ses cuisses emprisonnant ma tète. Elle posa son sexe sur ma bouche, écarta ses grandes lèvres avec ses doigts et se cala ...
    ... bien, l’entrée de sa vulve sur mes lèvres. C’était chaud et humide, avec une odeur de marée, une odeur de femme, de sexe. Je me mis à téter, sucer, lécher comme un mort de faim. Mes mains s’agrippèrent à ses fesses charnues, à ses hanches larges…. Et si c’était la mère ? Avec de tels seins lourds et un cul si généreux ? Elle m’avait dévisagé avec une telle insistance… Mais peu importe. Ma langue fouillait sa motte avec toujours plus d’ardeur. Mon index avait pénétré son cul et la pistonnait comme une petite bite. Je sentis son corps se tendre, son anus se contracter sur mon doigt et soudain, elle se relâcha en gémissant, la main dans la bouche pour ne pas crier, sa mouille odorante me remplissant la bouche. Elle jouissait, encore et encore. Mais notre belle n’était toujours pas rassasiée, elle s’allongea sur le dos, vérifia à tâtons que j’étais toujours au garde à vous, mis ses jambes sur mes épaules et dirigea mon chibre vers sa touffe humide. Je la pénétrais d’un coup. C’était doux, soyeux, et chaud. Je me mis à lui marteler le fond du vagin à grands renforts de coups de reins puissants. J’étais particulièrement excité et n’avais que trop attendu. Mon pistonnage eut un effet rapide. Elle était déjà chaude et très vite, je sentis son vagin se serrer sur ma hampe, et de nouveau je sentis ses spasmes étreindre ma bite tuméfiée, et la tremper de mouille chaude. Je n’en pouvais plus et, comme une délivrance, je lâchais mon sperme par longues giclées au fond de ses entrailles, ...