1. La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 697)


    Datte: 03/11/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... m’était autorisé. - Bien Ma Chienne. J'aime le fait que tu sois franche dans tes réponses et que ton corps réponde aussi bien quand je le touche ! Tu t'es très bien comportée et tu n'as laissé aucuns mots ou gémissements sortir de ta magnifique bouche. Je sais aussi que tu t'es très bien comportée depuis que Marie t'a récupérée à la gare. - Oui Maître. Je ne vis que pour Vous satisfaire et si Vous m'avez envoyé Madame Marie, c'est que vous avez confiance en elle. Alors je me devais de Vous obéir et de Vous faire honneur, avouais-je. - C'est très Ma très belle chienne. Maintenant, je vais te prendre car tel est mon droit. Je veux que tu te laisses complètement aller mais que tu ne jouisses uniquement quand je t'en donnerai l'autorisation. - Bien Maître, je ferais selon Votre bon vouloir, mon corps Vous appartient. - Cambre plus ton cul, Ma chienne ! Je vais te prendre dans tous tes trous aujourd'hui et à la fin, tu nettoieras ma bite de ta cyprine et tu me remercieras ! - Oui Maître Vénéré, soufflais-je alors que j'obéissais au Maître avec une excitation renforcée à la simple pensée que le Maître allait me pénétrer, allait prendre ...
    ... pleinement possession de ce qui Lui appartient... J’étais toujours en cette position debout mains plaquées contre le mur, jambes largement écartées et cul cambré en arrière, prête pour une saillie, quand je l'entendis se déshabiller derrière moi. Puis je sentis Le Maître se coller à mon dos en me pénétrant d'un seul coup de sa grosse et noble queue dans ma chatte trempée tout en écartant de ses mains, mes deux fesses. Je la trouvais énorme mais alors qu'il était en moi, je la sentis encore grossir et se raidir d’avantage. Il me besognait et ses mains lâchèrent mes fesses pour prendre mes seins en coupe alors qu'il pilonnait ma chatte sans douceur. J'avais besoin d'être prise de cette façon par Le Maître, bestialement, sauvagement, virilement car j'éprouvais le besoin de sentir que je lui appartenais et que mon corps ne le répugnait pas. Il continua à me labourer et à pincer mes mamelons dressés. - Aaaaah ! Maî … Maître… c'est trop bon ! criais-je sans pouvoir me retenir - Tu aimes ça, Ma chienne, dit-il en se mouvant plus vite dans mon antre en accentuant ses coups de reins. - Ouiii…Ouiiiiiiii Maître ! … encore … encore … (A suivre …) 
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