Fin de chantier - Week-end
Datte: 26/04/2021,
Catégories:
fh,
fhh,
fhhh,
fplusag,
extracon,
cocus,
grossexe,
fépilée,
fsoumise,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
Partouze / Groupe
fdanus,
fsodo,
confession,
... grosses branches pour la cheminée, et le reste à brûler. De temps en temps, je jette un coup d’œil à leur chambre ; ils sont tous les quatre à regarder un écran, mais je ne le vois pas. Sûrement des scènes du même type que j’ai pu voir sur les cartes mémoire ce matin. Puis je les vois tous les quatre dans la salle à manger en train de préparer à manger ; il doit être entre 15 et 16 heures. Je continue sans me soucier, mais un regard vers la maison me dit qu’il se passe quelque chose : il n’y a que les deux plus vieux qui continuent à cuisiner ; les deux plus jeunes ne sont plus avec eux. Je regarde alors vers la chambre et ne les vois pas non plus à l’intérieur. Je ne me précipite pas pour rentrer ; il faut que je mette d’abord en sécurité l’incinérateur afin de ne pas mettre le feu aux alentours. Cela me prend quelques minutes, puis je me dirige vers la maison. Ils ne sont toujours pas revenus dans la salle à manger, et au moment où je rentre dans la maison, je les vois tous les deux déboucher du couloir, venant de leur chambre, mais aussi de l’étage. Marian tient dans une main un sac de la taille de la caméra trouvée dans la chambre de Lucian. Je me déchausse et monte dans notre chambre. Valérie dort encore ; elle avait vraiment besoin de récupérer. Elle qui dort toujours couverte jusqu’en haut est quasiment découverte, couchée sur son côté droit, la jambe gauche légèrement remontée, la chemise largement remontée laissant apparaître ses fesses, son sillon, son anus et ses ...
... lèvres. Je m’approche et remarque qu’elles sont toutes humides de sécrétions. J’avance une main pour les caresser ; c’est tellement beau et doux au toucher… J’approche des lèvres passe un doigt dessus ; malheureusement, cela a dû la déranger car elle change de côté, reprend la couette et se recouvre. Je quitte doucement la chambre sans la réveiller. En sortant, je jette un coup d’œil à la chambre de Lucian ; la caméra n’est plus sur le bord de la fenêtre. C’est bien ce que j’avais envisagé : il devait sûrement la filmer dans son sommeil ; c’est, à coup sûr, eux qui ont réussi à la découvrir. Je descends me préparer un café. Ils sont en train de manger. Un de leurs téléphones sonne ; Lucian parle tranquillement, les autres ne disent plus un mot. Il met sur haut-parleur : je reconnais la voix de mon frère qui leur parle en roumain. Il a toujours eu beaucoup de facilités avec les langues ; il suffit qu’il passe quelques jours dans un pays pour commencer à connaître les balbutiements. Ce n’est malheureusement pas mon cas, et je ne comprends rien à ce qu’ils échangent. Lucian se lève, coupe le haut-parleur et me passe le téléphone en me disant « C’est Pascal, il veut parler. » Je lui prends le téléphone ; il me demande si cela avance bien, si je suis satisfait du travail, et ensuite me demande ce qu’ils ont fait hier. Je lui dis les avoir invités au repas du soir. Il me dit être étonné qu’ils aient accepté, car d’habitude le samedi – comme il me dit – ils partent en chasse. Il faut ...