1. Les fantasmes de la notaire (4)


    Datte: 26/04/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    ... sodomie ! Le Black, se rendant compte qu’il lui avait enfoncé quasiment à sec et qu’il allait avoir du mal à continuer sans la déchirer, fit une petite pause au milieu de sa besogne et prit le tube de gel pour en faire couler une bonne dose entre les fesses de Stéphanie. Il poussa la délicatesse jusqu’à lui enfoncer deux doigts et bien lui travailler son étroit canal. Stéphanie, un peu apaisée et rassurée, soupira, et son sphincter se détendit ; elle le laissa ainsi lui travailler lentement le fondement. Mais ça ne dura pas. Elle serra les dents, se prépara à un nouvel assaut qui s’avérait imminent : en effet le Noir lui enfonça à nouveau son gland gonflé dans sa petite pastille ouverte. Elle ouvrit la bouche, aucun son ne sortit... mais elle avait l’impression d’avoir pris un grand coup de poing dans l’estomac (même si elle savait bien que c’était l’autre extrémité de son boyau que l’Africain était en train de forcer avec son gros membre.) Et alors qu’il progressait lentement dans ses entrailles, il la complimenta, goguenard : « - Hummm... Eh bien, ma petite infirmière, il est vraiment bon votre joli cul. Aussi serré que celui de votre copine... et brûlant comme l’enfer !» Stéphanie se mordait la main pour ne pas hurler. Suffoquée, elle éprouvait en même temps une sensation de possession inégalée. Elle n’avait pas pensé qu’elle réaliserait son fantasme en même temps que Marie-Cécile aujourd’hui. Non pas qu’elle eut douté de la virilité ou de l’ardeur des trois hommes, mais ...
    ... elle avait pensé naïvement qu’ils suivraient leur contrat à la lettre. En même temps, étant trois, ils avaient de quoi combler deux jeunes et jolies femmes. Les doigts agrippés à la laine du tapis en pur mohair, elle fut bientôt saisie par un véritable séisme orgasmique qui lui parcourut l’utérus et lui ravagea le ventre : elle cria sans retenue, beugla, râla, tout en se demandant dans sa petite tête combien de fois elle avait déjà joui ce soir. « Je suis vraiment insatiable » se dit-elle, « quelle salope je suis... ! » Puis elle sentit la queue de son enculeur coulisser hors de son orifice culier et rentrer dans celui de dessous. L’homme lui pistonnait la chatte de quelques coups de reins bien sentis, butant bien au fond, puis ressortait et enfonçait son membre à nouveau dans son rectum... un coup dans le zig un coup dans le zag ! Puis soudain elle vit Hamidou se mettre à genoux devant elle ; il lui souleva la tête en la tenant par les cheveux : elle dût ouvrir grand la bouche pour accueillir l’énorme chibre et, la mâchoire dilatée, elle se mit à sucer en cherchant à montrer son savoir-faire, tout en se disant que si elle devait se la prendre dans le cul cette gaule-là, il la déchirerait à coup sûr. Elle en eut presque un frisson d’effroi, mais cette pensée combinée aux coups de pine d’Assane qui visitait en alternance sa chatte et son trou de balle la fit encore décharger. Heureusement pour elle, le jeune mâle noir superbement membré semblait se contenter de ses prouesses ...