Petite, si petite 1
Datte: 26/04/2021,
Catégories:
Première fois
... imagines ce que cela serait si tu en avais une grande de vingt-cinq centimètres par exemple? Je n’ose même pas y penser. Affirmation destructrice pour le minus habens ! J’évitais d’y penser. Au contraire, elle ne pensait qu’à ça, elle devait passer beaucoup de temps à imaginer. Et maintenant son silence couvrait une des rêveries qui la livraient aux assauts furieux, houleux, ravageurs, extraordinaires, si délicieux et bienfaisants d’un rouleau de chair surdimensionné en train de lui labourer le ventre, de lui défoncer le vagin et de la faire hurler d’un bonheur que ma petite dimension ne pouvait pas lui faire connaître. Assurément « un chanceux » aurait fait mieux que moi et Sonia était dépitée de ne pas goûter aux béatitudes extraordinaires d’une queue longue, large, épaisse, chaude. « Tu imagines ce que cela serait »: cette petite phrase a ressuscité mes complexes d’adolescent, je me suis senti si petit, si insignifiant, si nul. Elle imaginait, elle comparait, elle cultivait des regrets. Elle regrettait de ne pas avoir su plus tôt, de ne pas avoir pris des dimensions plus tôt, de ne pas avoir essayé avant de s’engager avec un sous dimensionné. Quand un quidam prétendait que l’on devrait pratiquer le mariage à l’essai avant de passer à la mairie et à l’église, elle n’approuvait pas ouvertement, mais ...
... baissait les yeux pour que je n’y lise pas son trouble. Trop petit, plus petit que… Si petit et donc frustrant, nécessairement ma taille la privait des explosions charnelles extrêmes dont d’autres plus chanceuses se vantaient en roucoulant. Tout petit, ridiculement petit, honteusement petit, donc impossible à placer dans une conversation avec les copines. Mais ma queue était pour elle malgré tout, sujet de conversation: je l’entendis ce jour-là dans une conversation dans ma chambre à coucher. J’ai oublié pourquoi ce jour je rentrai plus tôt que d’habitude. Curieusement Sonia m’avait précédé à la maison. Les bruits venus de ma chambre étaient éloquents. Disons plutôt la conversation que je surpris. En réalité c’étaient des exclamations. -Oh! Est-ce possible. Quelle belle bite. Longue, dure, épaisse. Est-ce possible? Je peux encore toucher? - Vas-y. Je ne demande pas mieux. Que ta main ne tremble pas. - Vrai, je peux encore. C’est incroyable. Ton gland est magnifique, fantastique. Voilà ce quil me faudrait -Elle te plaît? Tu vois, ce n’est pas du toc. Serre, c’est du vrai, du solide, à ton service ma chère. Je ne suis ici que pour le plaisir de te laisser voir, toucher, prendre en bouche ou recevoir dans ton sexe ma verge. N’est-elle pas conforme à ce que tu souhaitais connaître sur le site internet ?