1. Obsession


    Datte: 26/04/2021, Catégories: ff, copains, Oral 69, fgode, ecriv_f,

    ... C’était moi l’homme dans notre couple spontané, c’était donc à moi de décider de l’ordre des choses. Mais Marie-Ève ne voyait pas ça de cette manière. « Si tu ne fais pas ce que je te demande, je me rhabille et on n’en parle plus. » m’a-t-elle lancé comme ultimatum. Voyant qu’elle était terriblement sérieuse, j’ai dû mettre de côté mon orgueil « masculin ». Avoir su, je me serais organisée pour la ligoter au lit ! Alors, je me suis repositionnée pour satisfaire. Un parfum doux, discret, aphrodisiaque, mais combien enivrant émanant de son intimité a éveillé mes sens. J’étais figée devant une telle beauté. De voir son petit bourgeon rose me rappelait un moment de mon adolescence alors qu’une connaissance et moi étions ivres. Mais ça, c’est une autre histoire… Ma langue, par petits coups, allait et venait aussi profondément que possible au creux de son sexe sulfureux. Au bout de quelques minutes d’intensives caresses linguales, j’ai vu les abdominaux de Marie-Ève se contracter et des spasmes ont commencé à la secouer. J’ai levé la tête quelques instants, mais ses mains ont empoigné ma tête et elle m’a hurlé : « N’arrête pas ! Continue ! » Et c’est dans cette position que j’ai été obligée de la transporter au septième ciel. « C’était divin ! » m’a-t-elle déclarée lorsque mon visage était remonté au niveau du sien. « J’espère que tu es multi-orgasmique, parce que je ne m’arrête pas maintenant ! » lui ais-je répondu en me collant contre elle. Mon instrument de latex, qui jusqu’à ...
    ... présent n’avait presque pas eu d’attention, était maintenant à quelques centimètres de l’entrée de sa chatte. Marie-Ève s’apprêtait à me dire quelque chose. Mais avant même qu’elle ait terminé de prononcer la première syllabe, je l’ai embrassée afin de la réduire au silence. Ça faisait trop longtemps que j’attendais ce moment. Il n’était pas question que je lui donne l’occasion de m’imposer d’autres restrictions. Pendant qu’elle était toujours occupée à savourer ma langue imprégnée du goût de son nectar intime, j’ai cambré délicatement mes reins afin d’insérer graduellement ma queue en elle. Je procédais très lentement. Je devais être vers la moitié de la longueur lorsque que Marie-Ève a agrippé mes fesses et elle m’a collée contre elle afin que je m’enfonce complètement en elle d’un coup raide. L’expression sur son visage à ce moment-là était indescriptible. Pendant mes mouvements de va-et-vient, Marie-Ève se contentait de m’embrasser, de me glisser des mots cochons dans les oreilles, de gémir et de crier ! Par la suite, on a fait dizaine d’autres positions. Mais on a terminé avec la levrette. Je dois dire qu’après quelques minutes, ma position préférée en tant que femme était maintenant devenue ma favorite en tant qu’homme. M’agrippant à ses hanches et ses seins et frottant mes mamelons hérissés dans son dos, je ne cessais de lui donner des coups de bassins. Je n’ai arrêté que lorsqu’elle est venue une deuxième fois. Mon seul regret est que j’étais incapable éjaculée en elle. ...