1. Découverte


    Datte: 27/04/2021, Catégories: fh, jeunes, rousseurs, jardin, Oral fist, pénétratio, fdanus, fsodo, init, confession,

    D’une ancienne vie, il me reste en tête quelques souvenirs que voici. Je vivais depuis la fac avec Hélène, une jolie et gentille rousse de mon âge, très sportive, avec des formes assez plantureuses. Nous nous étions connus au lycée et nous avions vraiment découvert la sexualité ensemble. Dans ce domaine, j’avais pourtant sur elle une petite longueur d’avance car grand lecteur, j’avais déjà fait nombre de découvertes sur l’érotisme et la sexualité, restées jusque là très théoriques bien sûr. Et j’avais hâte de pouvoir mettre en pratique. Hélène prit rapidement goût à tous les plaisirs que nous avons peu à peu découverts à deux. Elle était un peu complexée par son corps. Elle se trouvait souvent des kilos en trop, ce qui ne m’affectait guère. J’étais amoureux et je la trouvais très mignonne. Son corps me plaisait beaucoup. Elle avait des seins superbes et opulents, une peau assez blanche et très douce. Elle était plutôt du genre jean et Converses, mais j’essayais, de temps en temps, de la pousser à mettre des jupes, parfois des collants ou des bas. J’y réussissais assez rarement. Mais alors, quel plaisir de pouvoir la trousser, la caresser et pour finir la branler sous sa longue jupe un peu trop sage. Il est certain que mettre une jupe lui assurait bien peu de tranquillité avec moi. Je fantasmais sur ce plaisir du troussage depuis que tout jeune, vers sept ou huit, j’avais essayé, sans succès, d’aller fouiner sous la jupe de ma petite voisine et copine. Je me rappelle d’une ...
    ... journée d’été passée avec Hélène dans ma famille. Il faisait très chaud. Elle s’était habillée très légèrement et elle n’avait pas de soutien-gorge. Cet événement assez peu fréquent m‘excita immédiatement. Ses gros seins moulés dans son chemisé léger et l’odeur prégnante de sa sueur me rendirent fou de désir. La famille se baladant à l’extérieur, je réussis à l’entraîner dans le salon désert. Je l’entrepris sous sa longue jupe légère et fendue en la laissant debout et en lui appuyant les mains sur le haut du canapé. Je la sentis plutôt consentante mais tout de même un peu inquiète. Cette position la cambrait. Ses seins libres pendaient sous sa poitrine de façon très indécente. Les pointes durcissent très rapidement. J’eus très envie de déboutonner son chemisier et de lui malaxer les seins à l’air libre. Je lui chuchotai cette idée à l’oreille. Je la sentis frémir mais nous avions trop peur de nous faire surprendre. Sa peau était chaude et moite. Elle portai une sorte de culotte boxer très facile d’accès. J’ai commencé à glisser ma main par-devant pour la caresser. Je me plaçai maintenant derrière elle et je lui attrapai la motte en passant par derrière, entre ses cuisses. Ah ! Empaumer la chatte d’une femme de cette façon !… J’adore cette sensation. Elle se donna à ma main qui la caressa d’abord doucement, puis la fouilla beaucoup plus franchement. Sa respiration s’accéléra, elle soupira et couina doucement. Elle s’abandonna complètement et se cambra encore plus. Pour être plus ...
«1234»