Le Placard (1)
Datte: 27/04/2021,
Catégories:
alliance,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
fsodo,
... dressa sur les genoux, et Daniel vit sa verge érigée. Comme tout homme il fit l’inventaire : « Plus longue que la mienne, mais moins grosse.» La queue durcie d’Éric balançait de gauche à droite comme la bôme d’un voilier en l’absence de vent. Il la dirigea vers le visage de Laurie. — J’ai envie de ta bouche, ma belle, tu fais ça si bien.— Tu as vraiment envie ce soir mon petit mari, susurra-t-elle ?— Bien sûr, répliqua Éric, tu as des lèvres si douces. Laurie hésita devant cette caresse plus intime qu’elle devait prodiguer à son mari devant ce « voyeur ». Malheur, Éric se présentait de dos, et Daniel ne voyait qu’une partie du visage qui s’agitait doucement sur le mat bien droit. Il entendit Laurie dire : — Attends, chou, met toi de côté, j’ai une crampe qui arrive dans le bras. D’un mouvement de coude, elle obligea son mari à se mettre de profil, puis jeta un regard vers le placard. Le gland bien gonflé se dressait entre ses doigts. Elle continua à le masturber des deux mains, tout en jetant de petits regards vers cette porte, véritable mur, étirant le prépuce à la base, jouant avec les lourdes bourses de son homme, prenant plaisir à décalotter la verge puissamment. Elle pompait, devant son amant virtuel, elle savait qu’il suivait ses mouvements, peut-être même se masturbait-il à son rythme, celui qu’elle imposait à son mari. Elle fit saillir le gland, qui éclot comme un bourgeon du prépuce, puis d’un geste brusque, elle le recouvrit de la petite peau tendre et fripée. Éric ...
... suivait en haletant le tricotage de sa verge par ces mains expertes. Alors, d’une happée, Laurie engloutit le nœud tortueux comme une racine de buis, et se l’enfonça d’une poussée au fond de la gorge. Éric gémit sous la brutale succion de sa femme. Daniel avait l’impression qu’elle s’offrait à lui, qu’elle se comportait en véritable amante, lui dévoilant une partie des talents de sa sexualité. Cette fois, son érection fut immédiate. Il sortit fébrilement sa verge de son pantalon. Raide, elle le gênait. Sa main l’entoura convulsivement, et il se mit à se masturber doucement. D’une main fébrile il fouilla dans les vêtements situés à côté de lui, et saisit une culotte. Il en entoura sa verge en continuant à se branler. La bouche de Laurie coulissait sur la pine dressée, l’enfonçant dans sa gorge, la ressortant, la mordillant légèrement. Elle étirait les testicules, les massant, les roulant entre ses doigts. Parfois elle ressortait la tige en entier de sa bouche en la masturbant. Alors elle fixait le placard semblant lui dire : « Regarde ce que je lui fais, regarde ce que je pourrais te faire… » Éric la surprit, le regard dirigé vers la menuiserie neuve : — Tu l’aimes bien, ton nouveau placard, il est superbe !— Oui chéri ! je l’adore. Alors, à un train d’enfer, elle se mit à traire son mari sous les yeux de Daniel. Ses lèvres coulissaient autour du pieu planté dans sa bouche, la salive coulait, bavant sur son menton. Daniel observait, tétanisé. Sa main s’agita un peu plus sur sa ...