La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°898)
Datte: 28/04/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Marion au Château – (suite de l'épisode précédent N°897) – La balade à l’intérieur du Château fut assez agréable. Malgré la légère douleur de mes muscles quand il fallait monter ou descendre un escalier, il y avait pratiquement partout des épaisses moquettes au sol, mais lorsque nous sortîmes dehors, j’appréciais beaucoup moins les allées de graviers rouges, et j’étais heureuse quand nous faisions, trop rarement à mon gout, des passages sur l’herbe des magnifiques pelouses impeccablement entretenues. Il faisait froid et Monsieur le Marquis m’imposa de porter une épaisse peau de mouton qui m’enveloppait par une fermeture éclair de la tête aux pieds mais avec une large ouverture à la taille afin de laisser bien en vue mon cul et mon sexe Cette peau de mouton avait deux jambes et deux bras chaudement molletonnés. Et même si la neige n’était pas encore tombée, le Maître fit remarquer que ce n’était pas un temps à mettre une chienne dehors si on ne voulait pas qu’elle tombe malade avec le cul nu. Alors après m’avoir ordonné, et que je me sois exécuter, de pisser contre un arbre, ce qui me bloqua quelques secondes du fait que ce soit devant des inconnus, mais je m’efforçais à ne penser qu’au Maître, nous rentrâmes au chaud et nous retournâmes dans le petit salon, où un feu de cheminée avait été allumé. Là, le Maître me fit quitter ma peau de mouton et une fois de nouveau dénudée, il m’ordonna de m’asseoir, jambes écartées mais pliées genoux au torse, les mains posées au sol en ...
... arrière la gorge offerte. Il éloigna un peu plus mes genoux entre eux de quelques coups de cravaches, et lorsque la position le satisfit, il posa une plaque en verre sur moi afin que je leur serve de table. L’exercice dura une bonne demi-heure, au bout de laquelle mes bras et mes jambes commencèrent à trembler de fatigue. On me débarrassa alors et j’eus le droit de « me reposer » un peu en restant prosternée une bonne heure à écouter les trois hommes converser sur le monde des affaires, des cours de la bourse et des hautes finances faisant références à des personnes que je ne connaissais pas. Je commençais à m’assoupir lorsque le Maître se leva et claqua des doigts, ce qui me fit venir mettre à quatre pattes à Ses côtés. Il attacha une laisse à mon collier qui ne me quittait pas depuis que je vivais au Château D’ailleurs, je n’avais même pas songé à l’enlever le matin lorsque j’avais revêtu le tailleur, tellement j’étais habituée à l’avoir autour du cou ! … - Mes amis, je dois vous laisser, j’ai des choses importantes à finaliser. Comme vous m’en avez exprimé le souhait ce midi, je vous confie Ma petite chienne, qui saura, je n’en doute pas vous contenter. Allez où vous le souhaitez, vous savez où sont vos chambres, le donjon… S’il vous manque quelque chose, n’hésitez pas à faire appel à Walter. Et toi ma chienne, je veux que tu obéisses à tout ordre que tu recevras, comme s’il venait de moi ! Ne me déçois pas ! Et il partit après m’avoir caressé la tête et avoir tendu la laisse ...