La baignade interdite
Datte: 28/04/2021,
Catégories:
f,
inconnu,
plage,
fsoumise,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
nopéné,
confession,
Il y a des choses dont je suis fière. En premier lieu ma réussite professionnelle : à 35 ans, je suis une des seules femmes cadre dirigeante de mon entreprise. Ensuite ma réussite personnelle : je suis mariée à Quentin, un homme doux et attentionné ; nous avons trois enfants en bonne santé. Enfin mon physique : sans fausse modestie, mes amies jalousent ma ligne conservée malgré la maternité, mes longs cheveux blonds naturellement bouclés et mes jambes élancées que j’entretiens, il faut l’avouer, à grand renfort d’activités sportives. Comme me le dit parfois Quentin pour me taquiner, je suis une MILF (de luxe, qui plus est !) et, pour ce que je vois des tentatives de drague dont je fais l’objet, plutôt en vogue. Et il y a des choses dont j’étais moins fière. La première, nous y avons remédié : il s’agissait de mes seins. Après trois allaitements, Quentin a insisté pour que je me fasse refaire la poitrine. Finis, les gants de toilette : j’arbore maintenant deux globes fermes et rebondis, ni trop gros, ni trop petits. C’est plutôt une réussite. C’est en tout l’avis de Quentin, et notre vie de couple en a été complètement relancée ! La deuxième chose dont je suis moins fière est survenue au cours d’un voyage en amoureux dans le Midi… Soyons clairs : je ne devrais normalement pas en parler. Ma réputation et ma dignité sont en jeu, mais voilà : je ne peux pas penser à cette histoire sans qu’un frisson me parcoure l’échine, à tel point qu’elle m’obsède jusqu’à troubler mon sommeil. ...
... C’est pourquoi j’ai décidé de partager ce poids par le biais de ce texte écrit en cachette. Nous étions partis un week-end d’été dans un hôtel au bord des calanques de Cassis, laissant les enfants à Paris. La première soirée est délicieuse, et très romantique car l’endroit est féérique. Ayant abusé du vin pendant le repas, je décide de m’astreindre à un petit jogging salvateur le lendemain matin. Alors que Quentin dort encore, je m’échappe donc, habillée d’un ensemble de sport, short court et polo moulant. C’était sans compter sur le soleil méditerranéen : à peine avais-je couru une vingtaine de minutes que je m’arrête, suffoquant sous l’effet de la chaleur. Haletante, je contemple l’endroit : une petite plage déserte nichée dans une crique isolée, au petit matin. Pourquoi ne pas s’autoriser un bain rafraîchissant ? Je m’approche de l’eau et, après avoir vérifié une énième fois que l’endroit était désert, je me dévêts complètement et plonge dans la grande bleue. Quel bonheur ! La sensation de fraîcheur est décuplée par le fait d’être nue : je sens l’eau fraîche glisser sur mes seins, puis venir le long de mon ventre jusqu’à s’immiscer entre mes poils pubiens, ce qui me procure une impression délicieuse. Après quelques brasses, je fais demi-tour pour rentrer vers le rivage, pas mécontente de cette petite escapade aquatique. Et là, problème : mes vêtements sont toujours présents, mais impossible de retrouver ma culotte et mon soutien-gorge. La perte matérielle n’est pas énorme ...