Ma chérie nous embrase...
Datte: 28/04/2021,
Catégories:
fhhh,
fête,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
BDSM / Fétichisme
Oral
pénétratio,
fsodo,
jeu,
... mais toujours derrière le bar de la cuisine et lançais à l’attention des jeunes : — Pierre, il paraît que c’était ton anniversaire cette semaine. Comme nous n’avons rien prévu, je me proposais de t’offrir un « slow d’anniversaire dans la tradition écossaise » avec ma chérie en guise de cadeau… Elle est d’accord bien sûr… À moins que tu la trouves trop vieille pour toi. Un petit coup de coude de la belle ponctua ma phrase mais la réponse immédiate de Pierre la rassura sur son sex-appeal. — Je crois qu’aucun cadeau ne me ferait plus plaisir !— J’en étais sûr. Je glissais alors mes doigts sous le bord de sa culotte et tirais doucement vers le bas en chuchotant à l’oreille de Marie : « Gagné ». — Mais arrête, qu’est-ce que tu fais ? me demanda-t-elle le plus discrètement possible.— Les Écossais ne portent rien sous leurs kilts et j’ai gagné mon pari.— Tu es fou, non je ne veux pas… Mais le sous-vêtement était déjà à mi-cuisses et si elle voulait rester discrète sur ce qui se passait sous sa jupe, elle ne pouvait pas le remonter. — Si si j’insiste et tu sais que je suis très persévérant. D’un mouvement sec, je faisais tomber la culotte à ses pieds et elle n’eut d’autre choix que de s’en débarrasser d’un petit coup de pied un peu rageur. Je collais mon érection plus présente que jamais sur ses fesses en la rassurant. — Je t’aime ma chérie et tu vas offrir à ce garçon un moment dont il va se souvenir toute sa vie. Et j’adore te savoir sans culotte… Prenant la belle par la main, je ...
... l’entraînais sans plus attendre dans le salon où la température avait monté d’un cran. Avaient-ils compris que Marie avait à présent les fesses nues sous son kilt ? En tous les cas, elle et moi le savions et cela suffisait à tendre encore davantage ma queue, si cela était possible. Je mis sur l’ordinateur alimentant la sono un slow brésilien très sensuel que Marie adorait et prenant ma belle dans mes bras, toujours derrière elle ma queue pressée contre ses fesses, je l’amenais doucement à son cavalier au rythme de la musique qui démarrait. Je sentais qu’elle aussi, un peu grisée par le vin blanc, était troublée par tout ça. Pierre attendait sa cavalière les yeux brillants d’excitation et la bosse qui ornait son jean trop large ne pouvait plus guère être ignorée. Le couple ainsi formé commença à danser sagement, assez éloignés l’un de l’autre mais Pierre dansait mieux que ce que l’on aurait pu imaginer. Petit à petit, avec des mouvements chaloupés et quelques passes élégantes, il se colla de plus en plus à ma chérie qui se laissa faire avec un plaisir évident. Les mains de Pierre, d’abord timides, se posèrent sur son corps ondulant de sa cavalière et au fil des secondes passèrent avec naturel étonnant du dos de sa cavalière à sa taille, puis sur sa chute de reins. Au rythme de la musique, il prenait de plus en plus d’assurance, jusqu’à caresser l’air de rien le haut de ses fesses. À ce moment-là, je me disais qu’il devait sentir sous le tissu, le porte-jarretelles sans savoir ...