Séduction délicate de la soeur de ma mère (29)
Datte: 28/04/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... érotique, le mien, j’effleurai la peau douce de celles-ci, puis je courtisai sa féminité en couvant ses lèvres intimes avec ma main. Je les palpai jusqu’à l’aube à de sa source, mais ma belle bourgeoise manifesta une grogne silencieuse avec un visage contrarié. — T’es rayonnante le matin. Lui murmurai-je avec mes doigts ressassant sans cesse le sommet pour s’évaporer vers le bas de son ventre. — Han Patrick…je n’aime pas ça…je n’aime pas que tu me voies comme ça…en plus tu le sais, tu as le don de me mettre mal à l’aise ! Rouspéta-t-elle en expirant pour faire naître ses cotes saillantes, ce qui m’excita davantage. — Hum-hum…t’es trop superbe à regarder dans cette position, tu peux rien me cacher…tu es nue devant moi et prête à te faire baiser, t’imagine pas ce que tu peux être excitante… En accolant ma main toute entière à sa vulve trempée pour la circonstance. — Hann Patrick ! Je ne sais pas comment te le dire ! Ca m’énerve et…tu m’excites Patrick…euh…viens s’il te plaît…viens… M’implora-t-elle en soulevant son bassin, m’indiquant clairement son désir de se faire prendre. — Je vais te baiser comme tu aimes Véronique. En positionnant mon sexe à l’entrée du sien. — T’as une façon de me parler ! et depuis le temps que je te le dis ! …mrr…bon alors baise-moi. S’emporta-t-elle. Sans sourciller, je savourai cet instant qualifié de magique, durant lequel ma longue verge entra en fusion directe dans le bas ventre de ma tante tant désirée. Une satisfaction éclaira peu à peu son ...
... visage durant ma progression. Mais pour une fois, il fallut le souligner, nous eûmes un rapport où ni l’un, ni l’autre n’exulta aussi intensément sa joie, en comparaison aux autres fois. J’avais mal agi, poussant Véro à l’extrême dans mon comportement égoïste. Nous avions fait l’amour et nous avions terminé sans nos câlins habituels. Certes la jouissance avait été commune, mais il avait manqué ce quelque chose en elle pour se libérer. Je plaidai coupable intérieurement. Patricia avait dressé le buffet, aidée de sa brave Maria. Ma tante avait le don de l’organisation et commandait tout son petit monde, surtout quand le traiteur arriva, accompagné de deux jeunes gars. Peu avant 18 heures, elle donnait ses ordres pour les emplacements des plats chauds et froids, la gestion des vins à mettre au frais…. Patricia, Maria, Paul, le traiteur et ses deux jeunes obéissaient face à cette quadra autoritaire et sûre d’elle. Par moments, on aurait cru que s’était-elle la maitresse de maison. Elle se montrait passionnée, mais également irritable si une de ses directives en arrivait à être contester. Bref, Véro avait sa brigade et aimait s’occuper de tout. Peu avant 19 heures, tout le monde se changea et Maria raccompagna le traiteur avec ses deux commis. Je mis mon costume lin beige, assorti d’une chemise blanche sans cravate. Vu son énervement, je ne fis aucune suggestion pour ses sous-vêtements. Elle décida seule dans la salle de bains, le nez contre le miroir en train de souligner ses ...