Séduction délicate de la soeur de ma mère (29)
Datte: 28/04/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... mémoire ? Enfin bref, tu n’arrives pas à faire une phrase sans parler de ton jules, Patrick je suis ravie de te connaître. Rajouta la femme du couple, une blonde avec une frange assez snobinarde. — Mais le plaisir est partagé ! Répondis-je. — Ca fait maintenant deux ans que nous sommes ensemble et moi qui croyais que le prince charmant n’existe pas. Poursuivit ma tante en me prenant par le bras. — Quelque fois, il se trouve juste à tes côtés et tu ne le remarques pas et puis il suffit d’une étincelle et la vie devient belle…ah Véronique, je crois que la maîtresse de maison a besoin de ton aide et même de celle de Patrick. Insinua le quinqua. En nous dirigeant vers la terrasse où nous attendait Patricia, Véro très fière de pouvoir enfin s’afficher en tant que compagne avec moi, me confessa son engouement. — Patrick…je te présente à tout le monde comme mon copain, tu ne m’en veux pas ? Peut-être que j’exagère un peu… En me faisant un baiser sur la joue. — Ah là c’est le baiser d’une Tatie ! — Oui bah…tu sais donc comment je suis en public, je ne suis pas du genre à t’embrasser sur la bouche devant tous ces gens…hann je me rattraperai plus tard. En pouffant de rire. Patricia était bien entourée. Deux types d’une trentaine d’années la complimentaient et lui affirmaient que le nombre de bougies n’était pas exact. Elle adorait ce genre de situation et refusait de voir le temps passer. Autour de nous, nous n’étions plus une quarantaine, mais plutôt une soixantaine de personnes. ...
... Elle eut une discussion active avec ma tante et je pus observer leurs différences de style. L’une était brune et juste belle, tout le contraire de ma grande blonde, m’évoquant la démesure. La première relevait d’une esthétique parfaite et mesurée, quand ma tante lui opposait non pas la beauté, mais le sublime. Sa silhouette élancée et son charme inqualifiable me sidérait, anéantissait mon entendement et ainsi provoquait en moi l’exaltation. Elle incarnait au-delà de la femme idéale, la démesure propre au sublime et me savoir en couple avec cette quadra rieuse, au physique insolent me transportait vers un monde irrationnel. En définitive, j’étais comme elle, étant dans l’incapacité à admettre la réalité de notre relation. C’en était quasi-magique. Paul avait mis une musique douce, style Stan Getz et certains dansaient dans une sorte de slow improvisé. Patricia voulait la voir s’occuper de la préparation de son gâteau, aussi vite elle interpella l’un des serveurs et m’accorda un slow avant de rejoindre la cuisine. Elle était nerveuse, impatiente de retrouver sa brigade, Maria et les deux serveurs. A la fin de la musique, elle s’éclipsa en se faufilant entre les invités. En partant, je la scrutai avec sa jupe moulante, devinant son cul d’enfer et ses mollets raffinés. Je bavardais tranquillement avec une jeune inconnue, quand ma tante me fit des signes d’affolement complet. Le gâteau était fin prêt avec ses cinquante bougies et il n’était que 23h30, ainsi nous devions respecter ...