Première expérience hard (1)
Datte: 29/04/2021,
Catégories:
Hétéro
... chez lui. Je répondis qu’il me plaisait mais que je n’étais pas encore prête à franchir le pas. Il argumenta longtemps, m’excitant et me faisant hésiter, mais l’appréhension gagnait sur le désir et je le repoussais. Je ne voulais pas le décevoir trop et quand il me demanda de me montrer à nouveau à lui, j’acceptai de me dévoiler encore. La fenêtre s’ouvrit et il apparut déjà nu, son sexe turgescent dressé au ciel. Je me déshabillais pour lui devant ma caméra, ses commentaires salaces me faisaient perdre la tête, au point que suivant ses instructions, je me caressais les seins, puis la chatte, fixant sa queue qu’il branlait doucement avant d’exploser dans un orgasme ravageur. À ma grande surprise, il coupa alors sa caméra, me dit « Connecte-toi demain à midi ma petite salope » et disparut. Ce soir-là et le lendemain matin, je me masturbais encore. Je me connectai à midi et il était déjà là. Mais après quelques minutes de conversation et alors que je venais de décliner à nouveau son invitation, le ton changea. « Écoute, ne tournons pas autour du pot, ça suffit. J’ai envie de te baiser et je suis sûr que tu en as envie aussi. Soit tu assumes et tu viens chez moi, soit on arrête de se parler, je n’ai pas l’intention de passer ma vie à me branler tout seul. » Ça me coupa la parole. Plus moyen de se défiler, soit j’acceptais, ce dont j’avais envie mais qui continuait aussi à m’effrayer, soit je refusais, et j’étais mortifiée par avance d’être privée d’un contact si plaisant. Je ...
... ne pus que répondre : « Mas… comment ça ? » Il répliqua du tac au tac : « Je te laisse une heure pour te préparer, tu m’écris pour me dire quand tu es prête et je t’envoie un Uber, Mets des talons, un pantalon moulant et un petit truc sexy en haut. Pas la peine de mettre de sous-vêtements. » J’étais pétrifiée. Ne sachant toujours pas comment répondre, j’écrivais « Quoi ? Maintenant ? » « Allez, viens, petite salope, je vais te baiser comme tu le mérites... » J’ai trouvé l’échappatoire, et je tentai « Mais on avait dit qu’on attendrait d’avoir fait un test pour baiser sans capote ! » et il m’asséna l’argument final : « J’ai fait un test hier en clinique, je suis allé chercher les résultats ce matin, c’est négatif, je te montre » et de m’envoyer une photo du document. « Alors, oui ou non ? C’est ta dernière chance. » Je ne pouvais plus reculer et ne savais toujours pas quoi dire. « Si je mouille, j’y vais ! » me dis-je. Je passai ma main sur mon minou, il était trempé. Ça m’a paru prendre des siècles, mais j’ai finalement écrit « oui » et tapé sur entrée. « Parfait ! J’attends que tu me recontactes. Un conseil : prépare un peu ton petit cul, je ne vais pas le ménager ! » et il coupa comme la veille. Je fus prise de panique : je me suis faite passer pour la dernière des salopes et si je ne étais pas une oie blanche j’avais un peu exagéré mon goût pour le sexe hard, sur lequel je fantasmais plus que je ne le pratiquais. J’étais prise d’envie de tout annuler, il n’était pas trop ...