Mamie Geneviève (24)
Datte: 29/04/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
Mamie Geneviève - Chapitre 24 Suite à la proposition de ma fille Agnès, nous convenons toutes les trois, de vite rejoindre la chambre et surtout le lit. Encore sous l’effet de la surprise, Mélanie, sa jeune amante se déshabille avant de serrer les lanières de son gode ceinture. J’en fais autant alors qu’Agnès, bien vite nue, nous expose son corps lardé de traces rouges. Je regrette un peu de l’avoir frappée si fort avec la ceinture ! Mais… en même temps…, j’ai éprouvé un tel plaisir à le faire ! Il faudra que je recommence ce genre d’expérience une autre fois pour vérifier si cet instinct sadique se révèle, ou non, en moi. Totalement soumise à nos caprices, ma fille gobe le sein que je lui propose, alors que la belle rousse lui caresse l’intérieur des cuisses, avant de poser sa bouche sur la vulve trempée. Agnès se tortille sous les coups de langue experts de sa chérie, mais s’applique quand même à bien téter mes mamelons. C’est vrai qu’elle est habile la coquine et que je comprends mieux maintenant, l’intérêt qu’elle peut porter aux femmes. Je ne plains pas son mari, car Gilles lui aussi, à besoin de se retrouver, même si c’est en compagnie de ce couple de voisins si étranges. Quand j’offre mon faux pénis à la bouche de ma fille et qu’elle se met à le sucer avec avidité, j’ai l’impression d’être métamorphosée en homme. J’en ai même la sensation de sentir sa langue rouler sur mon gland en caoutchouc. Agnès arrête de me sucer et, presque hystérique, nous hurle: « Baisez- moi, ...
... enculez-moi, vite !!! Je ne tiens plus !» Elle prend alors l’initiative de la suite et me fait m’allonger sur le dos, la bite en l’air. Bite qui disparaît d’un coup dans son vagin quand elle me chevauche. Mélanie, comprenant l’impatience de sa chérie, mouille préalablement de sa salive l’anus qui frétille, puis pointe son gode sur le petit trou. Elle force, sans ménagement, l’œillet d’Agnès avant de s’allonger sur le corps de ma fille prise en sandwich entre nous. Je donne des coups de reins comme le ferait un homme, alors que la jolie rouquine se déchaîne maintenant dans le fondement de la coquine qui roucoule de bonheur. L’une comme l’autre avons compris que ma fille à besoin de cette violence pour se libérer. Peu nous importe qu’elle se révèle masochiste, nous ne voulons qu’une chose : C’est lui donner le plaisir qu’elle attend. Agnès est comblée d’être sous le joug des femmes qu’elle aime et son plaisir monte quasi instantanément, alors que Mélanie et moi labourons son ventre à grands coups de nos pieux. La pauvre victime se penche et m’embrasse à pleine bouche, puis cherche les lèvres de son amante, soupire, geint et nous implore pour encore plus de sauvagerie. Mélanie lui attrape les cheveux et lui tire la tête en arrière. Ma fille redresse le buste et ses tétons sont trop tentants pour ne pas être maltraités par mes mains. Je pince mes doigts si fort qu’elle se met à hurler, non de douleur, mais du plaisir intense de sa jouissance. Après avoir soufflé un peu, elle ne ...