Ma petite tornade
Datte: 29/04/2021,
Catégories:
fh,
jeunes,
taille,
école,
Oral
69,
préservati,
pénétratio,
coupfoudr,
... souffles profonds et étouffés. Virginie est si légère que je n’ai aucun mal à la basculer sur le dos tout en restant en elle. C’est à mon tour de nous donner du plaisir. Je peux enfin aller et venir librement dans son ventre. J’augmente la cadence. Nos corps sont soudés l’un à l’autre. Je sens que je vais venir et le dis à ma petite maîtresse. Elle en est tout proche elle aussi. Nos corps se perdent puis se trouvent. Je sens Virginie se tendre et je me sens éjaculer à n’en plus finir. J’ai des étoiles dans les yeux et la marque de ses ongles dans le dos. Il y a des sourires qui en disent long sur le plaisir que l’on peut avoir. Assis sur le lit, nus, nous parlons un peu et nous regardons beaucoup. Il est près de deux heures du matin. Je ne sais pas si je dois rester ou partir. Pour Virginie, ses parents n’étant pas là, elle aimerait bien que je reste : « J’ai encore envie… » En disant cela, elle s’adosse à la tête de lit et écarte légèrement ses cuisses, exhibant une chatte trempée qu’elle caresse doucement. Je l’aide un peu à se caresser avant d’écarter sa main et d’offrir un accès complet et exclusif à ma bouche. Je l’embrasse, je la lèche, je la dévore. Je la bascule sur moi pour que ma langue puisse aller plus profond en son intimité. En voyant ma queue bandée, le 69 lui parait évident. Elle me pompe, m’avale, me lèche les couilles, frotte son visage contre mon service-trois-pièces. Je mordille ses fesses, les embrasse et laisse ma langue se perdre ...
... dans le sillon légèrement poilu où se cache un mignon petit trou du cul. Plus tard, elle me dira que c’est la première fois qu’on la léchait là… et elle a adoré ça. Ensuite, les positions s’enchaînent et Valérie se déchaîne : « C’est bon… Je jouis… Baise-moi… » Notre étreinte est quasi animale. Je la prends vite et fort. Elle en redemande et je lui en redonne. Nous nous lançons dans une levrette épique. Valérie ne cesse de jouir. Pour moi aussi la délivrance est proche : « Jouis dans ma bouche ! » C’est bon à en pleurer. Non seulement je peux enfin éjaculer mais, en plus, elle m’avale avec des grognements qui indiquent clairement le plaisir qu’elle y prend. Étourdis dans les bras l’un de l’autre, je jette un coup d’œil sur le réveil… déjà trois heures. Le lendemain, le réveil est aussi tardif que charnel. Après le petit-déjeuner, nous partageons un bain des plus coquins. Et, en fin de soirée, après être sortis boire un verre, nous retrouvons la douceur de son lit et exprimons encore notre faim l’un de l’autre. Le lendemain, c’était hier. Et aujourd’hui, nous avons encore eu un après-midi de pure frénésie sexuelle. Je n’ai jamais vu une fille avec un tel appétit. Elle m’a épuisé, vidé, lessivé. J’ai l’impression de m’être fait piétiner par toute une équipe de rugby. Je suis laminé. Éparpillé. Et pourtant… Et pourtant, dans quelques heures, je vais la retrouver. Même si je dois perdre la santé sur l’autel de la sexualité débridée de cette petite poupée.