1. Dame Erika (8)


    Datte: 04/11/2017, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... gagnées sur l’ennemi. Les ménestrels jouent quelques morceaux de musique et chantent sans grand succès, comme à l’accoutumée. Dame Erika donne le signal du début du spectacle ; elle envoie chercher dans une pièce voisine les acteurs encore occupés à mettre au point les derniers détails des costumes et de la mise en scène ; pour eux, tout doit fonctionner à merveille. Une idée de dernière minute ; les cuisines sont prévenues. Sur un signe de Dame Erika la musique s’arrête ce qui provoque le silence général. Les quatre acteurs entrent et montent sur scène. Sous le regard étonné des convives, Tom fait une annonce ; en manque total d’inspiration, il déclare simplement : — Nous allons vous interpréter une pièce de théâtre de notre invention. Son titre : Sexe. Avec son fort accent du Nord, les convives n’ont rien compris ; mais entraînés par Dame Erika, tout le monde applaudit. La musique reprend, entraînant les filles dans une danse langoureuse et sensuelle ; une succession decaresses de plus en plus suggestives ont fait taire les derniers bavards. Assis derrière elles, les garçons ne sont pour le moment que spectateurs. La danse continue. Les filles se font face, redessinent leurcorps au travers du tissu. Les nez se touchent ; les bouches aussi. Elles ondulent ; les corps entrent en contact puis se séparent. Un lacet tenant le haut de la robe se défait, puis un second : les robes glissent au sol, découvrant leur corps tout juste couvert d’une chemise courte. Les jambes nues ...
    ... provoquent un « Waouh ! » général. Comme dans un ralenti cinématographique, elles partent chacune par un côté de la table, en font le tour avec un sourire coquin et le regard provocateur, passent devant chaque convive en leur frôlant le visage du foulard qu’elles tiennent d’une main. Une fois dans leur dos, penchées par-dessus les épaules, elles gratifient chaque convive – hommes ou femmes – à tour de rôle d’une légère et rapide caresse accompagnée d’un effleurement de leur bouche sur les lèvres des invités. Elles arrivent en même temps au couple de jeunes mariés qui ont droit à une faveur plus personnelle : la caresse et le baiser sont réels, puis elles s’enfuient vers la scène telles des voleuses en faisant tournoyer leur foulard au-dessus des têtes et de la leur. Dans la salle, on entend à peine le bruit des couverts alors qu’habituellement c’est la musique qu’on peine à entendre. Remontées sur scène, d’un regard elles peuvent « mesurer la température de la salle » comme on dit dans le spectacle. Elles vont encore la faire monter. Ondulant autour des garçons comme un serpent entourant sa proie, leurs mains frôlent les corps et les visages. Félines, elles dégrafent la tunique des garçons qui tombe sur le sol, dévoilant les torses puissants. De nombreux « Waouh ! » féminins se fout entendre. Il est temps de faire une pause, de calmer les esprits, de rafraîchir les corps ; en gros, de faire durer le plaisir. Ils s’enfuient vers les cuisines où les attendent un verre d’eau pour se ...