1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 580)


    Datte: 29/04/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode N°571) - Après la sévère et si excitante correction administrée par Monsieur le Marquis d’Evans, celui-ci imposa à soumis Endymion MDE de rester allongé sur le lit. Il lui mit une cagoule parfaitement opaque sur le visage après lui avoir installé dans chaque oreille des boules Quiès. Puis Il oublia volontairement Son esclave, toujours enfermé dans sa camisole de force, dans le silence et l’obscurité… Monsieur le Marquis d’Evans savait très bien que l’oubli donnait de loin en loin, un rebond dans un monde neuf, une capacité à renaître, une renaissance à la disposition du futur. Il savait qu’à la nuit froide succédait souvent le clair matin. Et c’était pour cette raison sans doute qu’il laissa soumis Endymion MDE dans l’effacement, la confusion, le déni et le trouble. Son savoir, Monsieur le Marquis le tenait de ses lectures de philosophie de toutes les cultures et plus spécialement Grecque via celle de Socrate et Platon, mais également de l’Odyssée d’Homère dans les débuts de l’histoire de l’Occident, Lui ce passionné de Mythologie et de Grèce Antique… Pensait-il à cette déesse Léthé qui partageait son nom avec le Léthé, l’un des cinq Fleuves des Enfers, appelé aussi le fleuve de l’Oubli, qui s’écoulait paisiblement et sans murmure, où les âmes venaient s’abreuver afin d’oublier leur vie passée ? Oui, Monsieur le Marquis avait bel et bien l’intention de conduire Son chien soumis MDE vers ce monde de soumission… Il ...
    ... souhaitait le construire, le fabriquer, le modeler, le pétrir, le plier, le sculpter pour l’élever et lui faire accepter cette nouvelle vie en lui faisant oublier son vécu. Il fallait en passer par là ! Et l’esclave MDE resta là, longtemps, très longtemps, sans vraiment comprendre au départ, l’enseignement voulu et imposé par le Maître. Lui, soumis MDE se sentait plus dévoué et obéissant que jamais comme dans un véritable monde parallèle, un espace-temps où les réalités étaient altérées, une dimension où les pensées étaient biaisées, où l’obéissance régnait, où seuls comptaient les mots et actes de Monsieur le Marquis d’Evans. Et de cela il en jouissait, une jouissance forte sinon exceptionnelle, toute à fait particulière, si personnelle, si cérébrale, si difficile à communiquer. Point d’orgasme non ! Mais un instant purement cérébral où il sentait sa conscience perdre équilibre où sa soumission devenait volupté, lui permettant d’effleurer voire même atteindre ce sentiment à la fois magique et effrayant. Non point d’orgasme ! Mais ses pensées commençaient à basculer, s’altérer, où la soumission semblait ne plus supporter d’alternative, quoi qu’on puisse lui dire ou faire. Mille choses lui passait en tête : L’accord consensuel de perte de liberté pour lui soumis, le pouvoir laisser au Maître pour toutes décisions ; demeurer lui-même tout en se sentant à la permanente merci de Celui qui le dominait ; ne plus rien oser faire qui aurait déplus à Monsieur le Marquis d’Evans ; mais aussi, ...
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