Francky Stein et les dimensions humaines
Datte: 29/04/2021,
Catégories:
f,
fh,
frousses,
couple,
couplus,
extracon,
inconnu,
vacances,
plage,
cérébral,
revede,
Masturbation
Oral
nopéné,
piquepince,
exercice,
portrait,
délire,
fantastiqu,
... droite de la machine, un bouton se met à clignoter. Cela m’intrigue et comme j’ai peur de faire une bêtise ou d’oublier quelque chose, je me réfère directement à la page qui le concerne. C’est celui qui permet d’activer l’additionnel d’autonomie de pensée. Quelle bonne idée de mon Francky ! Bien sûr que c’est indispensable ! J’appuie sur le bouton. La machine se met à faire un long «bzzzzziiiiiiiii » ; surprise, je retire le doigt de mon sexe. Puis elle me lance d’une voix masculine synthétisée merveilleusement charmeuse : — Processus enclenché, ne touchez plus à rien ! J’espère vivement que « mon homme » aura une voix comme celle-ci, grave et vibrante, galactiquement sexy, mais j’ai à peine le temps de l’imaginer me susurrant des mots doux à l’oreille que la voix reprend : — Opération réussie, vous pouvez ouvrir la porte… ︽ ︾ ︽ ︾ ︽ ︾ ︽ Je m’approche de la porte, intimidée et fébrile tout à la fois. J’essuie sur ma nuisette mon doigt trempé de mouille et je passe mes mains dans ma longue chevelure rousse pour discipliner mes boucles soyeuses. Je place les mèches devenues sages derrière mes oreilles pour dégager mon cou délicat. J’ai envie de plaire. — On peut sortiiir ? C’est lui ! — Ouiiii ! La porte s’ouvre ; je retiens mon souffle. Je vois sortir de l’habitacle un homme qui se matérialise en franchissant la porte de la machine. Il est jeune, musclé – entièrement nu, à la croix dis-vrai ! – avec les mains placées en cache-sexe. Ohhh… Le final de toutes mes ...
... sélections va carrément au-delà de mes espérances ! Un charme fou ! Sûrement l’humanoïdo-séductissime dont peut rêver une femme ; et je suis aux anges. Il relève la tête. Les traits de son visage sont étonnamment androgynes, mais je suis aussitôt attirée par ses magnifiques yeux bleus. Je lui souris, fière de moi. C’est hallucinant comme la matérialisation est réussie, et la lumière qui passe par la lucarne donne un effet satiné à sa peau bronzée d’un réalisme parfait. — Bonjour Alex. Je m’appelle Alyséa. J’ai trente-cinq ans et… bienvenue à la maison !— Bonjour… euhhh… moi j’ai vingt-cinq ans et… vous être… une cougar ? Je tombe de haut ! Et je murmure d’une voix lamentable : — Dix ans d’écart, pour un couple, c’est tout à fait raisonnable !— Viens, Crécré chérie ; je crois qu’il y a un problème. Une magnifique jeune femme nue sort de la cabine, un sourire inquiet aux lèvres. Son visage est surprenant, tant il ressemble à celui de cet homme, mais elle porte grâce et féminité jusqu’aux bouts des ongles. C’est trop ! Je m’effondre sur le vieux fauteuil en osier qui est à côté de moi, la tête chamboulée de questions. — Mais, mais… « Crécré chérie » ?— Oui : Crécré, c’est un petit mot doux pour « créature », et Béryl est ma compagne.— Mais je rêvais seulement d’un compagnon. Je tourne vite fait les pages du manuel pour voir d’où vient mon erreur : page vingt-deux, il y a marqué : « Deux sièges abaissés = deux personnes. » Bidouillette que je suis ! — Eh bien, nous sommes deux maintenant ...