Séduction délicate de la soeur de ma mère (16)
Datte: 30/04/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... comme je t’aime…Hannnn… Fit-elle dans un râle sans fil. Véro n’avait plus la force de contracter son vagin, elle subissait mes assauts répétitifs, elle jouissait à tout rompre, haletait à la recherche d’air frais. Je poursuivais ma cadence endiablée pour l’entendre gueuler, geindre puis accoucher de son bien-être. Cette femme bien qu’elle fut ma tante était une vraie bête de sexe après des années d’abstinence. Mon sexe baignait dans son intimité relâchée, preuve de sa béatitude. Nous reprîmes nos esprits, tels deux sportifs après un sprint. Véro très câline et follement amoureuse me caressait le torse, pensive. — Bah si tu veux faire un bébé avec moi, ça ne va pas prendre beaucoup de temps ! Tu me baises comme un fou Patrick, je n’ai jamais connu ça auparavant. Dit-elle essoufflée. — Oh t’es pas en reste non plus et ça vient si naturellement avec toi, les gestes, les baisers, tout ! M’exclamai-je à mon tour. — Je dois t’avouer que je ne regrette pas d’être ta Tatie en ce moment… En venant frotter ses seins révoltés contre mon dos. — Tu étais faite pour moi, j’en suis persuadé. — Quel beau compliment mon très cher neveu que j’aime. Dit-elle en se penchant pour me rouler la dernière pelle de la soirée. Véro s’endormit assez vite. ...
... J’étais pensif en pensant à cette histoire d’enfant. Etais-je devenu assez fou au point de vouloir mettre enceinte ma propre tante, la petite sœur de ma mère ? Avais-je songé aux conséquences du quand dira-t-on ? Le souffle de ma compagne, enfin de ma tante m’apaisait et nous étions déjà en octobre donc Noël se précisait chez mes parents. Elle devait voir son gynéco et nous devions encore avoir une conversation sur le sujet. Il fallait penser, toujours penser. Penser à Patricia qui allait émettre des doutes sur sa grossesse, penser aux garçons et inventer un père, penser à mes parents notamment à ma mère, sa sœur… Mais l’idée de mettre enceinte ma tante m’excitait, ce serait comme une sorte d’aboutissement, de consécration si elle devenait la mère de mon enfant, elle Véronique, ma propre tante que j’appelais Tatie étant enfant. J’étais même relativement surpris qu’elle puisse concevoir une telle chose, elle encore si réticente au départ de notre relation interdite. De son côté Véro allait sans aucun doute retrouver une deuxième jeunesse à quarante ans passés avec l’entame d’une troisième grossesse. Était-ce bien raisonnable ? Nous avions déjà dépassé le raisonnable de mon point de vue et j’attendais de pieds fermes l’avis de son toubib…