Le Village en folie (9)
Datte: 30/04/2021,
Catégories:
Lesbienne
... et cache-le ! Il ne faut pas l’effaroucher ! — Qu’est-ce qui se passe ? demanda l’autre. — Je vais avoir un petit gaz ! annonça la rouquine en chuchotant. Il ne faut pas qu’il entende ni ne sente. — Ah Seigneur ! J’ai affaire à une autre péteuse ! sembla soupirer Catherine. — C’est vrai, mais dans le cas d’Ali, c’est son intolérance au lactose. Moi, c’est naturel. » Un bruit à peine perceptible se fit entendre. « Voilà : c’est passé. — Au moins tes pets, ils ne sentent pas. C’est pas comme pour ta copine. Elle, elle pue ! » Faisant maintenant face à sa nouvelle amante, Sophie se pencha et porta à son tour à la bouche un de ses nichons gorgés de lait. Une main soulevant le sein afin de le presser légèrement, elle commença à téter, doucement d’abord, puis avec de plus en plus d’avidité. Libres de tout vêtement, les deux filles s’allongèrent, Sophie surmontant Catherine qui écarta les jambes, permettant à sa partenaire de coller son sexe sur le sien. C’est avec excitation que Sophie sentit la stimulation de la pilosité pubienne de Catherine sur ses propres lèvres épilées. À son tour, l’autre sein se fit aspirer par des lèvres juvéniles et assoiffées. La bouche de Sophie, dégoulinante de lait frais, quitta le mamelon pour rejoindre celle entr’ouverte de la blonde qui brûlait du désir de frencher celle que lui prêtait Alicia pour la nuit. Un torride baiser au parfum de bière et de lait s’ensuivit, alors que deux boutons d’amour se mettaient à la recherche l’un de l’autre et que ...
... des effluves de cyprine fusionnaient sur les entrejambes des deux filles en pleine séance de gouinage. « Descends plus bas, Sophie, la pria Catherine. Viens t’abreuver de ma mouille. J’ai tellement envie de sentir frétiller ta langue à l’entrée de ma grotte ! » Semant de tendres baisers sur son parcours, la rouquine atteignit le sexe chaud et humide de la blonde. C’est la tête entre les cuisses qu’elle absorba à grands coups de langue le nectar que laissait échapper un tunnel d’amour au parfum enivrant, rattrapant tout d’abord ce qui s’échappait entre les cuisses mouillées, balayant de la langue la raie et l’anus rendus glissants par la cyprine, puis remontant jusqu’à des petites lèvres luisantes pour terminer sur un clitoris déjà à moitié décapuchonné. Sous l’emprise des intenses et agréables sensations, Catherine se mouvait lentement sur sa couche, agrippant les draps autour d’elle dans des gémissements de jouissance incontrôlables. Prise de spasmes, elle connut un violent orgasme qui transforma son écoulement de mouille en un torrent parfumé et envoûtant. « Sophie ! Oh, Sophie ! murmura-t-elle. Viens me dépuceler, mon amour. Mets tes doigts dans mon tunnel et prends mon point G ! » Écartant des lèvres écarlates, chaudes et humides, la fille constata la présence de la membrane intacte de la vierge, puis hésita. Sachant qu’il s’agit là de l’événement d’une vie, elle eut une pensée pour Alicia, puis pour Simon. Elle se ravisa : « Pas maintenant, ma belle. Je te réserve pour un ...