1. La redécouverte de l'amour


    Datte: 04/11/2017, Catégories: fh, hplusag, asie, amour, Masturbation Oral fdanus, fsodo, aliments, ecriv_f,

    ... appris à maîtriser l’art de forge lors de la guerre. Il s’était installé à Heian-Kyo après la dernière campagne. Heureux de sa vie calme, il n’avait jamais eu le temps de trouver une compagne et se refusait à engager les services d’une marieuse. À quarante ans révolus, il se voyait mal avec une adolescente à peine sortie de la puberté comme il était de coutume ici de marier. Il avait été par le passé, amoureux secrètement d’une femme de la haute société. Mais sa condition n’était pas assez bonne que pour l’épouser et jamais il n’avait osé demander sa main. Lorsqu’il avait rencontré Miyako là première fois, il était tombé sous le charme de cette petite poupée à la peau aussi blanche qu’une porcelaine, qui n’avait pas besoin du recours d’artifices contrairement aux Geisha. Gracieuse et délicate. Il rêvait de la voir sourire et rire pour lui alors qu’elle lui offrirait son corps fin et fragile. Ses yeux en amandes et ses lèvres délicates l’émoustillait que trop souvent. Il avait remarqué ses passages plus réguliers devant chez lui. Il sentait qu’un nouvel amour naissait en lui. Pour l’anniversaire du décès de ses parents, Miyako se rendit dans un temple ancien situé dans un petit village à quelques heures de marche de chez elle. Elle voulait prier pour le repos de sa famille défunte. Le soleil se cachait au fur et à mesure derrière de gros nuages. — Venez par ici, il y a un abri un peu plus loin. Elle sursauta. La voix n’était autre que celle de Kiyoshi. — Je ne voudrais pas ...
    ... vous incommoder, mais la pluie menace et jamais nous n’arriverons à temps. Il serait dommage d’arriver détrempés pour être malade par la suite. Dit-il doucement. Miyako le suivit rapidement. Les premières gouttes commencèrent à tomber. Un éclair déchira le ciel. Heureusement, la maisonnette n’était pas trop loin et rapidement ils furent au sec. — Je ne sais comment vous remercier de votre sollicitude. Murmura-t-elle.— Il n’est rien, je me rendais chez un ami quand je vous ai reconnu. Je vais faire un feu que nous puissions sécher nos habits. Rapidement les flammes prirent vie et il en profita pour se dévêtir partiellement. La maisonnette était un peu vétuste et poussiéreuse. Il restait encore quelques meubles vétustes. Le feu chassa l’humidité tout doucement. — J’ai fait quelques achats aux marchés, je n’ai pas grand-chose à vous proposer mais il y a de quoi faire un peu de thé et du riz.— Avec mes maigres provisions, nos aurons suffisamment pour ce soir. Répondit-elle. Ils mangèrent le peu qu’ils avaient en restant après du feu qui dégageait une douce chaleur. Doucement, Kiyoshi se leva et l’invita à faire de même, il libéra le corps fin de Miyako de son kimono humide. — Vous allez être malade si vous restez ainsi. Murmura Kiyoshi en déposant ses lèvres sur la nuque délicate de Miyako.— Nous ne pouvons pas, j’appartiens à présent à la famille de mon défunt époux. Glissa-t-elle tout en se retournant vers lui. Miyako posa ses mains sur son torse glabre. De ses yeux noirs, elle ...