1. Rencontre en boîte


    Datte: 02/05/2021, Catégories: fh, couplus, extracon, cocus, inconnu, parking, boitenuit, voiture, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme massage, Oral fdanus,

    L’été était chaud et très agréable cette année-là. Les enfants à la montagne avec leurs grands-parents, nous avions tout le temps de laisser cours à notre vie de couple trop souvent mise de côté par les obligations familiales. Aussi Sabine et moi faisions l’amour dès que possible, profitant de chaque instant de liberté et de la chaleur de l’été. Un soir, après avoir passé du temps à lézarder au soleil, mon épouse me suggère que nous pourrions aller en boîte pour danser comme au bon vieux temps de notre jeunesse. À 40 ans, je me sens encore jeune, mais j’avais compris l’esprit. Je lui fis toutefois remarquer qu’étant jeune, je n’étais pas tellement doué ni fan de danse. Elle me répondit d’un ton provocateur que ce serait pour elle l’occasion de danser au bras de beaux mecs et de voir si elle plaisait encore… Je lui répondis qu’elle était aussi désirable qu’à ses vingt ans, avec son 90C, sa taille moyenne et les rondeurs juste placées où il faut des femmes mûres, à savoir juste un peu de hanches, des fesses plus charnues, un ventre encore plat et des cuisses galbées. — On verra, me lança-t-elle d’un ton coquin. Je lui fis remarquer que certains hommes, émoustillés par tant de charme, risquaient de vouloir aller plus loin. — Et alors, c’est pas toi qui rêves de me voir avec un autre homme ? Ceci mit fin à la discussion et marqua le début des préparatifs. J’optai pour une tenue sobre : chemise de lin, pantalon de toile. Sabine, qui avait disparu au moins une demi-heure, ...
    ... réapparut dans une petite robe d’été descendant aux genoux mais faisant la part belle au décolleté puisque se portant sans soutien-gorge. Ses jambes étaient épilées de près, et ne distinguant pas de trace de culotte à travers la robe, je ne pus m’empêcher de glisser ma main dessous pour constater qu’elle portait un string qui laissait libres ses fesses magnifiques, lui faisant un cul hypnotisant (je ne suis peut-être pas tout à fait objectif). Nous partîmes donc dans une de ces boîtes qui passent de la musique des années 80 et où se rendaient une majorité de quadras. Le parking garni, mais pas bondé, annonçait une soirée sans trop de foule. Notre impression fut la bonne : les salles étaient bien occupées mais pas bondées, et il restait quelques fauteuils libres de-ci de-là. Nous prîmes d’abord quelques verres pour nous détendre, et comme nous buvons rarement, l’effet se fit ressentir rapidement. Sabine m’emmena sur la piste pour danser des rocks endiablés, seule danse où je me débrouille plutôt pas mal. Mais au bout d’une heure de ce traitement, je déclarai forfait et nous nous sommes installés à une table restée libre dans le coin de la salle. À peine 10 minutes s’étaient écoulées qu’un homme à l’allure sportive, grand, au sourire sympathique, vint demander à Sabine si elle souhaitait danser. Elle partit donc à nouveau sur la piste pour enchaîner quelques rocks. Je remarquais sans trop de mal les mains baladeuses de son partenaire qui pratiquait surtout les passes où il était ...
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