Le feu d'artifice - Histoires de Sexe

Le feu d'artifice

... À très bientôt ! Sur ce, je repris l’ascenseur en sens inverse, traversai le hall où Marine avait joui sous ma langue quelques heures plus tôt, sortis de l’immeuble, montai dans ma voiture et rentrai chez moi où j’arrivai un peu avant cinq heure. Au moment où j’allai rentrer, j’entendis quelqu’un m’appeler : — Marc ! Marc ! Attends-moi ! En me retournant, quelle ne fût pas ma surprise de découvrir mon Amandine courir vers moi. — Ben… D’où sors-tu ?— En fait, une copine m’a appelée ce soir en me proposant d’aller en boîte. Comme t’étais pas là, j’ai accepté.— T’as pas fais de bêtise, au moins ?— Pour qui tu me prends ? Tu sais bien que je t’aime.— C’est vrai. Excuse-moi. Je t’aime aussi. On rentre ? j’ai pas chaud.— Allons-y ! Mais… C’est quoi le paquet que t’as sous le bras ?— Euh… Ben… C’est un petit cadeau pour mon amour, lui répondis-je le plus naturellement possible.— Où t’as acheté ça ?— Secret…— Je peux ouvrir ?— Attends au moins d’être rentrée.— Oui ! Oui ! Bon, tu viens ? Une fois dans l’appart, elle voulut à tout prix l’ouvrir. Je ne savais toujours pas ce qu’il y avait dedans mais j’essayais d’être le plus décontracté possible. Elle déchira rapidement le papier et en sortit… la robe de Marine ! — OUAAAHHHH ! Elle est superbe. Mais peut-être un peu trop échancrée pour aller en boite.— C’est le moins qu’on puisse ...

... dire…— À quelle utilisation pensais-tu alors ? me demanda-t-elle sur un ton langoureux.— Eh bien,… À une utilisation un peu plus… personnelle, disons.— Ah oui ? Petit coquin. Allez ! Je passe à la salle d’eau et je vais me coucher.— À tout de suite, ma puce. Je profitai de son absence pour ouvrir la lettre de Marine. J’y trouvai une carte de visite sur laquelle était écrit : <tab> J’espère que ta copine appréciera et que </tab> <tab>tu penseras à moi quand elle la portera.</tab> <tab>Ne m’oublies pas et reviens vite. Préviens </tab> <tab>moi avant.</tab> <tab>Sexuellement. Marine.</tab> Je restai interloqué devant cette lettre que je relue plusieurs fois. Quand j’entendis le loquet de la porte de la salle d’eau s’ouvrir, j’enfouis la lettre dans la poche d’une de mes vestes qui traînait. J’étais en train de me coucher quand Amandine entra dans la chambre et me demanda : — Alors, ça te plaît ?— La robe te va à ravir, mon amour.— Ça ne te fait pas plus d’effet que ça ? me demanda-t-elle mi-déçue mi-coquine.— D’après toi ? lui répondis-je en sentant mon sexe commencer à se raidir.— Eh bien, vu ton état, je pense que…— Tu penses que… quoi ?— Que tu vas me faire l’amour jusqu’à l’aube !— Tant que ça ?— Au moins ! La nuit fût longue et après avoir honoré ma copine, je m’endormis d’un sommeil réparateur dont j’avais bien besoin. xXx