1. A ma botte


    Datte: 04/11/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    A MA BOTTEJe viens d'avoir 36 ans, il y a cinq ans ce mois-ci que je viens de quitter mon ex-mari. Pour fêter cet anniversaire un peu particulier, je me suis décidée à vous envoyer ma confession. Je vous l'envoie avec d'autant plus de plaisir que je lis régulièrement Dèmonia, et maintenant les confessions de Dèmonia. Mon récit vous surprendra car il est assez différent de toux ceux que vous publiez d'habitude, je vous l'ai pourtant fait parvenir avec l'espoir de pouvoir me relire dans vos colonnes, ne me décevez pas.J'ai 36 ans, je mesure 1 m72 pour 61 kilos. Mes cheveux sont courts, châtain foncé, j'ai une poitrine et des fesses "normales'. Mon seul signe dis¬tinitif est peut-être mon visage fin et long qui porte naturellement un air sévère. Lorsque mon ex-mari m'a quittée pour une jeune étudiante il y a cinq ans, je me suis mise à hair tous les hommes, leurs vices, leur médiocri¬té, leurs mensonges, et ce petit bout de chair qui pend entre leurs cuisses et qui les rend si fiers. Non, je ne suis pas devenue tout de suite une dominatri¬ce, j'ai d'abord essayé d'être une 'femme libérée". Quelle erreur ! Les hommes confondent 'femme libérée' avec putain, rivet "mal baisée", avec « chieuse », avec "mocheté", ou même (plus vulgairement) avec "trou à bites'. Jamais la moindre attention, jamais le moindre cadeau, à peine un coup de téléphone pour prévenir qu'ils arrivent chez moi pour me sauter. Quant aux sorties, restaurants ou théâtres, ils me laissent payer ma part du repas ou ...
    ... ma place car je suis une "femme libérée". Je n'ai peut-être pas eu de chance, mais la petite dizaine d'hommes que j'ai connus au cours de l'année qui a suivi mon divorce m'a laissé ce goût amer dans la bouche. La coupe a débordé quand mon ex-mari a eu l'audace de m'inviter chez lui pour passer une soirée entre amis avec ma "remplaçante". Il fallait la voir se tortiller près de lui, le couvrir de baisers devant moi, et lui donner du "chéri" toutes les trente secondes. Ce n'était pas une soirée, c'était la pire des humiliations. En face de moi, j'avais une fille de vingt ans aux formes rebondies, habillée dans un petit ensemble provocant, souriante et généreu¬se. Elle était belle comme toutes les femmes le sont à cet âge-là. Moi, j'étais obligée de les regarder s'aimer. Ce soir-la, j'ai haï définitivement mon mari et tous les hommes sur cette terre. Je me suis rendu compte à quel point j'avais été idiote, il m'avait fallu 32 années pour m'apercevoir que les mâles avaient une bite à la place du cerveau. J'ai pleuré toute la nuit en ne souhaitant qu'une chose : me venger. Je voulais que les hommes me res¬pectent, qu'ils me désirent, qu'ils aient tous les jours envie de moi, qu'ils soient prêts à toutes les folies pour moi, qu'ils soient à mes pieds.Je savais déjà que mon air sévère pouvait forcer le respect. Combien de fois dans le métro j'ai fixé droit dans les yeux des hommes qui mataient mes cuisses, je leur faisais baisser leurs regards d'abrutis. Combien de fois au bureau ...
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