1. Un bon fils


    Datte: 04/11/2017, Catégories: Anal Mature, Première fois

    ... obtins de lui faire cracher le morceau. Je lui fis remarquer benoîtement que j’avais surpris l’autre salope entrain de sucer près du canal un de ses bons potes. Je lui savais une prédilection autant pour les mômes que les vieux grigous comme moi. Percevant un léger embarras du fils à me répondre, je lui demandais si par hasard lui-même n'en avait pas profité. Sa défense fut faible et cela me fut comme un demi-aveu. J’affectais cependant de prendre cela en bonne part.Je pus observer cependant que mon fils n'allait jamais chez sa garce en notre présence. Par contre pour peu qu'il nous crut absents, ils se hasardaient des fois tous deux au bord de la piscine et forniquaient comme l'autre fois. Je pus admirer un jour une frénétique sodomie. Cela augmentât mon dépit. J'enrageais de ne pouvoir défoncer ce cul si prodigalement offert alentour. Il me fallait à tout prix entrer dans les bons offices du fils. Ainsi mis-je un matin les pieds dans le plat. Je lui dis de go que je les avais maté par la fenêtre. Mon fils s'abstint de nier les faits.Sardoniquement je lui glissais que je n'en toucherais aucun mot à sa mère. Que cela resterait entre nous. J’enchaînais aussitôt. Tu penses qu'on pourrait se la choper ensemble. Mon fils comprit qu'il ne pourrait échapper à mon stratagème. Pouvait-il refuser une telle bonne fortune à son papa ? Il perçut au contraire que tout cela été à son honneur de me faire ainsi la courte échelle. Cette garce s'était moquée trop longtemps de son père. ...
    ... Celui-ci avait droit à s'en dédommager. Il fallait lui donner une leçon en la bernant et l'humiliant. Notre plan fut rapidement arrêté.Ce fut encore un jour de canicule. Je devais débarquer peu après le début de leurs étreintes au bord de la piscine. Le fiston s'était assuré que la maison fut accessible pour moi. En effet je pus arriver tandis que le rejeton depuis cinq bonnes minutes limer dans le cul de la salope et que celle-ci subjuguée râlait sans discontinuer. D'abord elle ne perçut pas mon ombre approchant. Quelle ne fut alors sa stupéfaction lorsqu’elle ouvrit les yeux me voyant à si peu de mètres d'eux. Elle ne pouvait décemment se dégager. La sodomie devant aller à son terme. Je souris et attendis.En guise de jeu j’applaudis. Je persiflais notamment : « Bravo fiston ! » Celui-ci tout en préméditation m'invita alors à partager leur orangeade. La garce encore sous le coup de la surprise ne put nous refuser. Elle ne savait sur quel pied balancer. Je renchéris lui faisant le compliment qu'elle était bien gaulée et encore plus belle qu'avant. Le compliment ne coûtait rien. Mon fils profitât pour l'embrasser et la caresser de nouveau. Nous avions décidé à dessein qu'il l’échauffât. En effet la salope fut bientôt ranimée. Elle se donnât rapidement à l'un et l'autre.En effet peu après je fus installé entre ses fesses besognant et soufflant à la fois. La pute n'avait cure que ce fut moi ou un autre. Le plan avait marché. J'étais dans la place. J'escomptais ce jour-là me dédouaner ...