1. Black is beautiful (4) Ma gazelle


    Datte: 02/05/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    Mes conquêtes féminines ont été essentiellement africaines, même en France, j’étais sans doute marqué très tôt par cet exotisme africain. Ma gazelle, je l’ai aperçue lors d’un déplacement nocturne en Afrique. Il faisait nuit, un faible éclairage de rue dessinait sa silhouette frêle, elle avait près d’elle un matelas. Elle attendait là, au bord de la rue, un hypothétique taxi mais avec un tel bagage, peu d’espoir. Passant sur le côté opposé, je l’ai plaint me disant qu’elle aura bien du mal à trouver une aide. Effectivement, une heure plus tard environ, comme je m’en retournais, elle était toujours là à poireauter. Je me suis arrêté et j’ai chargé son colis encombrant pour la conduire à sa destination. Une fois, la charge déposée, je m’apprêtais à reprendre la route, elle est venue vers moi pour me demander si elle pouvait m’accompagner. Je lui ai dit que je ne pouvais pas l’héberger, elle m’a dit qu’elle voulait simplement faire un bout de chemin avec moi. J’ai compris la proposition et nous sommes allés chercher une zone tranquille loin des passants. Notre première rencontre, était tout en retenue, un long baisé humide avant l’exploration de ce corps léger. Sans éclairage, c’était surtout mes mains qui ont été source d’informations. Une peau douce, un corps habile en amour qui s’est uni au mien en aspirant ma tige au plus profond de son con par des ondulations lascives. Aucune gêne pour cette gymnastique sexuelle dans un habitacle, somme toute, bien restreint. Quel plaisir ...
    ... de baiser ainsi sans l’avoir voulu ni même cherché, ce soir-là, j’étais loin d’imaginer faire jaillir ma semence de mon poireau sans l’aide de mes mains, je suis un masturbateur nocturne compulsif quand aucun(e) partenaire m’aide à jouir. J’ai oublié la durée de cette étreinte, le temps ne compte plus, nous avions la nuit devant nous, personne ne m’attendait à la maison. J’avoue que j’aurais eu du mal à la reconnaître le lendemain si je l’avais croisée dans la rue, car son visage s’est peu dévoilé sous les faibles lumières blafardes de la rue, mais elle m’avait donné pleine satisfaction et cela me suffisait. je n’envisageais pas de futur avec cette frêle créature, je lui ai avoué que je n’étais pas en quête d’amour suivi. Pourtant, elle m’a invité à une réception chez ses logeurs et sans savoir pourquoi, j’ai accepté l’invitation de cette inconnue. Le lendemain, à la réception, j’ai découvert une fille parée de ses plus beaux pagnes et d’une coiffe volumineuse pour ce petit corps. Officiellement, pour cette famille d’accueil (pratique courante pour une fille de la campagne), dont la maîtresse de maison était une métis franco-peul de toute beauté, nous n’étions que des amis suite à une rencontre inopinée. Il n’était donc pas question de nous adonner à nos débats chez eux. Nos rendez-vous étaient, au début, nocturnes avec, pour baisodrome, ma voiture. Ma gazelle Peule, n’était pas noire, elle avait la peau couleur ambrée, douce au regard et au toucher, tout en finesse. Suivant ...
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