après la colo - histoire complète
Datte: 02/05/2021,
Catégories:
Gay
... sensation. Je remis un peu de salive pour y mettre un deuxième doigt. Il me laissait faire dans ce travail d'assouplissement. J'ai changé de position pour présenter mon sexe à l'entrée de son sphincter. Je poussais doucement ma verge. Bien que je prenne toutes les précautions pour éviter la douleur, il me signifia qu'il avait mal. Avec patience, je renouvelais mon ouvrage. Je réussis à le pénétrer et lentement le limais. Nous ressentions enfin du plaisir.Je me retirais pour ne pas jouir trop vite.A son tour, il voulait me prendre, ce qui n'était pas pour me déplaire. Je lui facilitais le travail en me mettant sur le dos, jambes relevées. Il mouilla son sexe de sa salive, le présenta à mon anus. En se rendant compte qu'il y pénétrait sans difficulté, il s'empala jusqu'à la garde. Je sentais ses boules frapper mes fesses à chaque coup de boutoir mes testicules venant buter sur les poils pubiens. Dans cette position, je pouvais voir son visage qui montrait le plaisir qu'il prenait dans cet exercice. Il m'écarta les jambes pour voir les traits de mon visage tantôt crispés, tantôt réjouis. Il devenait brutal dans ses allers et retour, restant collé à mes fesses sans bouger lorsqu'il était au maximum de ce qu'il pouvait entrer. Je mettais cette brutalité sur le compte de son noviciat. A chaque fois, je craignais qu'il jouisse en moi, mettant fin à ce démontage de trou.C'était la première fois que je me faisais prendre avec autant de force. Soit il ne maîtrisait pas sa puissance, ...
... soit il me rendait la monnaie de ma pièce.Il était endurant, je croyais que cela n'allait jamais s'arrêter, que demain j'aurai le cul en feu.Cela ne me faisait pas débander, bien au contraire. Il voulait me donner tous les plaisirs, car tout en continuant à me pilonner, il me branlait. Sentant que j'allais tout cracher, il se retira, pris nos deux bites dans sa main pour les masturber. Nos jets de sperme se répandirent sur mon ventre, mon torse. Une fois l'énergie évacuée, il s'allongea sur moi. Nous devions sentir la chaleur de nos semences nous unir. Nos corps reposés, il est allé dans la salle de bain le premier.En revenant dans la chambre, il m'attendait debout pour me prendre dans ses bras de la même manière qu'à la colo. Je sentais couler des larmes sur ses joues.Cet instant m'a semblé une éternité.Le week-end s'achevant, je l'ai ramené à la gare. Quelques temps après, il m'annonçait qu'il quittait la région parisienne pour retourner dans le sud où on lui proposait du travail.Je retrouvais ma solitude, sauf l'agriculteur qui labourait souvent le champ mitoyen à mon jardin, de sa position surélevée lui permettait de voir par-dessus ma haie.Lorsqu'il repartait à la ferme, il me saluait à chaque fois.Un après-midi ensoleillé, je me suis installé dans le jardin sur un transat avec un bouquin en maillot de bain pour bronzer. Seul le bruit du tracteur du fermier troublait le silence. N'entendant plus le bruit du tracteur, je pensais que le fermier était reparti par un autre ...