un jeune flic pervers (1)
Datte: 03/05/2021,
Catégories:
Gay
... séance d’exhibition en insérant sa bite dans mon cul, et en m’enculant en public. Nous repartîmes, ravis de ce petit jeu. Comme le vendredi nous terminions notre service en fin d’après-midi, il proposa de m’amener dans un bar qu’il connaissait. Ce n’était pas un bar gay, mais un bar de routiers, fréquenté uniquement par des hommes. Les routiers ne sont pas tous gays, mais sont souvent seuls sur la route, et ne dédaignent pas de s’amuser entre eux, ou avec des rencontres de passage. Ce n’était pas un bar gay, mais le propriétaire l’était, et c’était un bar où on pouvait s’amuser entre hommes. Je suggérais à Theo d’y aller avec Paul. Il fût d’accord, et Paul accepta avec enthousiasme. Nous nous retrouvâmes devant le bar vers 22h. Une douzaine de clients, routiers et amateurs de routiers. En se dirigeant vers le bar, Theo me passa longuement la main au cul, sous le regard intéressé de bon nombre de clients. Après avoir bavardé avec le patron, que Theo connaissait bien, et avoir bu nos bières, Theo nous invita à visiter ...
... les toilettes. Le patron avait tout prévu, elles étaient spacieuses. Theo se plaça dos au mur opposé à l’entrée, la queue à l’air. Je me penchai pour lui sucer la bite, pendant que Paul me déculottait pour me lécher la raie. Un mec entra, puis deux autres. Ils nous entourèrent, la bite à l’air, en se branlant. Quand Paul en eût assez de me lécher, il se releva. Un des branleurs le remplaça, me doigta après m’avoir léché et m’encula. Quand il eût terminé, un autre était prêt à prendre la suite. Mais je n’étais pas venu me faire enfiler à la file par tous les clients, et me reculottai. Nous retournâmes boire une bière, discuter un peu, et puis regagnâmes les toilettes pour une autre séance. Ensuite, Theo se dit fatigué et rentra chez lui. Je repartis avec Paul. Nous nous mîmes à poil dans son lit. Il me plaça sur le côté, une jambe repliée et me baisa lentement en levrette, tout en caressant ma bite bandée. Le lendemain matin, j’avais hâte de retourner au travail, car, ce jour-là, j’étais seul de permanence avec Theo Fin