Le jeu de l'oie
Datte: 03/05/2021,
Catégories:
grp,
extracon,
cocus,
copains,
campagne,
jardin,
fête,
anniversai,
volupté,
Voyeur / Exhib / Nudisme
strip,
BDSM / Fétichisme
nopéné,
jeu,
humour,
... pieds nus. Quelle hâte ! Ou bien la peur du ridicule de n’avoir tout à l’heure que des charentaises pour tout vêtement ! J’exagère, il avait des mules de cuir noir, très faciles à abandonner. Pour le punir, c’est devant Christophe que je tombe à genoux pour confisquer ses mocassins. Il a le pied égyptien, le gros orteil étant plus court que le second. Pas pratique pour caresser un clitoris. De toute façon, je ne tolère cela que dans des conditions bien particulières, hammam très brumeux ou banquet républicain très ennuyeux, avec en face de moi quelqu’un qui me plaise. Cela dit, tu ne me déplais pas, frôle mon sein si tu le veux, et si tu te contentes de peu. Il m’est arrivé un soir de neige, dans une auberge du plateau ardéchois, de réchauffer contre ma poitrine les pieds glacés d’un jeune homme blond… Thierry a failli gagner, mais il a dépassé le 63 et reculé au 59. Il ôte son short. Quel slip minuscule, qui contient à grand peine… ce qui a fait mes délices ? N’exagérons rien ! Enfin, si, quand même ! Thierry, je t’aimais, voilà tout. L’imparfait, ça tombe bien. Il vient de sortir un 7 qui le ramène au 58, donc à la première case, derrière moi qui suis tombée sur un pêcheur à la ligne, au 25. Frédéric caracole en tête, il enlève son pantalon de toile beige. Dessous, un caleçon de coton bleu ! Sous le caleçon, une bosse, mais une bosse ! Et c’est moi qu’il regarde ! — Sophie ! Je suis debout devant Thierry, qui fait glisser mon slip, en prenant son temps. Et son pied, ...
... Sophie ? Et son pied, probable ! Osera-t-il avancer les lèvres ? Il n’ose pas. Frédéric me paraît triste. Frédéric, je me sens capable de t’aimer, cette nuit. Et même la nuit prochaine, peut-être. Vois, je suis assise, les fesses nues sur le plastique beige du fauteuil de camping du gîte communal, et je t’attends. Tour suivant. Frédéric est encore le premier, il lui appartient d’enlever son caleçon. Il le fait tout simplement, la paume de sa main gauche collant le sommet de sa verge sur son nombril, et c’est en me regardant qu’il ôte sa main, faraud comme le satyre du vase étrusque que tante Jeanne m’a montré le jour de mes dix-huit ans. Avec un mauvais sourire, Thierry fait longuement descendre les bas de Laure en les roulants sur ses cuisses si douces. Il nous a vues revenir de chez les pèlerins, en bikini, il a subodoré une turpitude. Bien vu, Thierry. À la table voisine, Virginie est nue. Des seins plus gros que les miens, mais elle n’a pas de peine. Des fesses peut-être un peu tombantes, de hanches larges de matrone, un pubis de forêt noire. Pas vierge, ça non, et depuis longtemps ! Mais je l’aime bien. Enfin, je l’aimerais plus si elle n’avait pas tenté, mais il y a si longtemps, de me piquer mon cousin David. Frédéric va jeter les dés. J’aimerais qu’il ne soit plus en tête, qu’il se réserve pour moi. Il me plaît. Décidément, je vais m’abonner à ce prénom ! À table, tout à l’heure, il m’a dit que j’étais encore plus jolie qu’il y a dix ans, chez les parents de Virginie. — ...